Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi

Jésus a dit "Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi, pas dans des palais de bois ou de pierre"



Jésus dit "Fend le bois je suis là; soulève la pierre et tu m'y trouveras!"




mardi 27 mars 2012

INREES | Réenchanter nos vies (VIDÉO)

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INREES - Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires

D'un rapport direct aux forces invisibles de la Nature à l'avènement des grandes religions monothéistes et de la science moderne, comment l'homme s'est-il progressivement coupé de la Nature et de son être intérieur ? Comment essaye-t-il au contraire de nos jours de rétablir ce lien et de réenchanter le monde ?

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samedi 24 mars 2012

Message de : Le Passeur : LE TEMPS DES GRANDES MAREES mmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhh normal.... si vous êtes "secoué(e)s" !


 

Le temps des grandes marées

Publié le 22 mars 2012 par Le Passeur

Par le Passeur.

C'est un bien étrange espace que nous expérimentons là. Il y a tant d'incitations, de provocations et je vois bien des interrogations, des hésitations sur l'attitude à adopter, les désirs d'engagement, les désirs de retraits, voire de retraites isolées, l'impatience, l'exaspération. Que faire se demandent beaucoup ? Les temps deviennent étouffants pour certains. Loin des psalmodies médiatiques, un nombre de plus en plus grand voient bien que les conditions économiques de leur quotidien se dégradent et cela les inquiète. Les mêmes médias les perfusent quotidiennement de drames, parfois orchestrés dans le cynisme le plus absolu, afin d'inciter à la haine et de dresser les uns contre les autres. Devons-nous nous lever dans l'engagement de l'homme face aux hommes ? Devons-nous juste attendre que l'effondrement survienne en se dégageant des implications émotionnelles de nos attachements ? Quelque chose va-t-il secouer le prunier ? Va-t-on faire enfin ce que nous attendons confusément ? Les marionnettistes vont-ils réussir à engager le monde dans un nouveau conflit dévastateur ? Tout cela va-t-il un jour cesser ?

La Terre elle aussi est sous pression et nous sommes la Terre. Alors oui, quelque chose va secouer le prunier et probablement libérer les pressions de bien des façons. Je sais que quelques uns ont fait le choix de l'engagement selon les anciens principes de la dualité opposant les forces. C'est leur droit et leur élan est d'autant plus compréhensible qu'il répond à l'une de nos plus vieilles habitudes. Nous l'avons déjà tant fait au cours de tant de vies que c'est un réflexe profondément enraciné. Aussi incompréhensible que cela soit pour ceux-là, je dis que chacun est dans son rôle, mais que la voie libératrice passe par la foi en quelque chose qui n'a jamais été tenté à telle échelle et que jamais un aussi grand nombre d'êtres ont été prêts à manifester cela dans la matière. Ce quelque chose est la conscience de notre pouvoir créateur, notre force à manifester une réalité en l'incarnant contre vents et marées, aussi bien ou mal intentionnées que soient les raisons de ces vents et ces marées. Nous ne pouvons qu'humblement et simplement être au quotidien celui-là que nous voudrions toujours voir à nos côtés, nous devons être nos propres exemples, nos propres références, en-dehors de tout cadre.

J'en vois qui ne tournent leur regard que vers ce qu'il y a de plus sombre dans l'humanité. Leur réalité est alors le reflet de cette obscurité et je n'envie pas leur amertume. Si ceux-là pensent s'informer de l'état du monde à l'aide du bouton de leur télé ou de leur radio, alors ils sont sûrs de s'enfoncer un peu plus dans une réalité morbide, malsaine et voyeuse, qui les amène perfidement au point où certains veulent les amener pour justifier leurs méthodes et asseoir définitivement leur contrôle. Leurs propres yeux ne verront plus alors d'eux-même que ce dont ils sont quotidiennement gavés. Mais que savent-ils de tout ce qui est fait de juste et de bienveillant à chaque instant sur ce monde ? Que savent-ils des mains qui se tendent et des consciences qui s'enracinent, si ce n'est quelques représentations larmoyantes mises en scène de temps à autre devant les caméras selon des buts contraires qu'ils sont bien loin d'imaginer ?

Il est une vérité à entendre sur plusieurs niveaux de conscience : nous créons toujours notre réalité par la nature du regard que nous portons sur le monde. Ce regard est l'étincelle d'un mécanisme qui à la fois nourrit une réalité perçue collectivement par adhésion plus ou moins consciente à un paradigme, mais aussi y apporte sa propre création. C'est pourquoi ce que nous sommes en nous est déterminant sur la réalité qui est la nôtre, tout en portant les germes d'une influence sur le collectif. Même si au regard de l'éternité de la vie, chacun avance à son rythme, c'est un mécanisme qu'il devient urgent de comprendre dans le contexte de l'horloge cosmique qui tourne. Lorsque le prunier sera secoué, des pans entiers d'un édifice que la plupart croit encore indestructible, s'effondreront. C'est une excellente chose parce qu'il faut faire de la place au neuf et comme je l'ai déjà dit, rien ne se bâtira cette fois sur les cendres de l'ancien. Mais aussi bonne cette chose soit elle, elle sera vécue difficilement pour beaucoup qui n'ont pas encore cheminé suffisamment vers l'être qu'ils sont en essence. Pour ceux-là, perdre par exemple leurs biens, leur emploi, leur maison, sera vécu comme un dépouillement d'une grande brutalité, qui les laissera désemparés. Dans leur système de croyances, ce sera en effet brutal et ils auront besoin de réconfort venant de ceux dont la conscience les a guidés vers une foi qui dépasse la peur de l'insécurité et le rapport de force qui en naît. Ce sera le rôle de ceux qui ont fait le choix de leur pouvoir créateur en-dehors du traditionnel engagement de l'homme face aux hommes. C'est une fois de plus un numéro d'équilibriste que de vivre ce choix dans un dégagement qui n'est en aucun cas de l'indifférence, tout en exerçant l'intention première qui nous a fait naître ici afin d'incarner toute notre lumière dans la matière. Il faut voir l'exercice de ce paradoxe comme la parabole du jardinier sûr de son fait, qui arrose ses semis dans une terre aride et difficile sans se préoccuper des apparences mais avec tout son amour. Le temps est à présent celui de la récolte.

 

Tout élan créateur est à l'image de la vie qui s'épand entre inspir et expir. Les univers eux-même respirent ainsi. Pour ce qui concerne l'extension de vie que nous sommes, la part d'ombre nécessaire à l'expérience de la dualité a nourri l'inspir dont il a rempli la matière et où veillait la flamme originelle, avant que l'expir ne souffle et épande cette lumière plus forte de l'expérience vécue. Dans l'équilibre intérieur l'alchimie s'est accomplie. Nous sommes au point où tout se détend, où tout se relâche, au point où donc tout ce qui est rigide et figé voit ses fondations se désagréger dans le souffle créateur. Ce n'est pas la décision d'une volonté, encore moins d'un jugement, c'est une vaste respiration au sein de laquelle nous avons créé des formes et des échanges, bâti des mondes et des sociétés. Ce sont nos châteaux de sable qui se dressent le temps d'une marée basse et dans lesquels se forgent au fil des cycles entre deux marées, arrogances, souffrances et vanités, mais où naissent aussi la compréhension, la compassion et l'humilité.

Nous n'avons prise sur la marée, nous ne pouvons que jouer gaiement avec ce qu'elle nous amène ou pleurer en tentant de préserver nos éphémères châteaux de sable.

Le souffle de l'expir tient ses lumineuses promesses et cela s'observe sur toutes les échelles de la vie et concerne bien plus que le simple sort de l'humanité résidant actuellement sur Gaïa. Nous sommes ici-bas les passagers d'une belle et grande conscience qui vient de larguer les amarres et nous offre un magnifique voyage sur le pont, humant le vent et les embruns sous le claquement des voiles gonflées des grands vents solaires qui s'annoncent. Nous tous qui avons choisi ce voyage n'avons qu'à nous réjouir pour rester confiants sur le pont. Les craintes du roulis, des vagues immenses et des éléments ne feront que nous focaliser sur un mal de mer qui pourtant est évitable.

Au-delà du remue-ménage, voyez la fluidité qui préside au mouvement créateur de la vie, et soyez-en. Soyez heureux en ces moments de bouleversement que tout vous soit offert comme possible, là où beaucoup d'entre vous croyaient que rien ne pouvait changer tant les attaches paraissaient solides.

Ces attaches ne sont en fait que… vos propres attachements. C'est pourquoi vous avez pu entendre parler avec tant d'insistance de la nécessité de se détacher des émotions nées de vos conditionnements inconscients. Et que donc vous avez reçu, ici et ailleurs, des signes mettant en lumière ces conditionnements et des informations propres à vous aider à vous en libérer pour l'essentiel. Hors de ces attachements, il n'y a plus de souffrance. Hors de ces attachements, il y a de moins en moins de peur et de plus de foi en la vie. Hors de ces attachements, le véritable amour se dégage. C'est à ce point précis que devait vous amener tout ceci : à vous éveiller, à retrouver foi en la vie, en vous, pour que sur le pont du vaisseau Gaïa, dans la grande tempête qui s'annonce, vous ayez le cœur en joie en pressentant vers quels nouveaux rivages vous allez accoster, sur quelle nouvelle Terre vous poserez le pas.

Ce qui vient à terme, ce qui naît, n'est pas un choix que nous ferions ou pas, ce n'est pas une philosophie à épouser ou une religion nouvelle, ce n'est pas même un engagement. Cela arrivera, quoi que nous fassions. Il y a tout un macrocosme en mouvement et de ce point de vue, nous ne sommes que des témoins observés et bénis du grand spectacle. Ca a toujours été ainsi et nous n'avions à déterminer en tant qu'individu et en tant que collectif que ce que nous étions en mesure d'apprendre de tout cela et d'incarner. Par voie de conséquence, par résonance – et non en récompense ou par châtiment (!), nous décidons donc de la manière dont nous vivrons ce moment exceptionnel.

A présent, nous sommes en un point où la ligne du temps qu'emprunte Gaïa vers son ascension ne devrait plus changer. Par contre, au sein de notre expérience humaine, si les choix d'âme sont faits, la ligne que nous suivrons personnellement pour les respecter n'est toujours pas déterminée, le libre-arbitre étant encore maître du jeu pour quelques temps. Elle ne le sera pas jusqu'au bout, jusqu'à ce que j'ai appelé le passage du chas. Je dirais même que cette période de doute et d'indécision pour beaucoup engendre des sauts permanents d'une ligne à l'autre du temps, d'un possible à l'autre. C'est ainsi, la vie est une création fluide en perpétuel mouvement, seulement il y a dans chaque élan des points de non-retour qui sont fonction à la fois de l'énergie en jeu dans le mouvement et de son rapport avec l'inertie rencontrée. En quelque sorte, nous sommes assez « légers » pour que ce point de non-retour ne soit pas encore atteint en ce qui nous concerne, là où celui de notre Terre l'est très probablement. Ainsi il y aura dans les deux sens jusqu'au dernier moment des volte-faces et des demi-tours qui en surprendront plus d'un.

Le laboratoire de notre expérience humaine a été élaboré et inséré de manière à ce que ses échéances capitales soient le point de rendez-vous d'évènements cosmiques qui en réalité les accouchent. Ce qui naît lors de ces rencontres n'est pas un choix venant de quelque chose d'extérieur à nous, mais la résonance de ce que nous avons conçu avant de le mettre au monde.

A présent, le rendez-vous cosmique en cours marque le terme de l'expérience que nous avons menée ici. Quoi qu'il arrive, chacun doit garder en conscience que tous récolteront très exactement les fruits de ce qu'ils ont semé tout au long de l'expérience. C'est-à-dire que chacun vivra avec justesse dans les mois à venir le processus qui le mènera à s'accomplir. Inutile de s'inquiéter, nos limites provisoires font que personne ne sait ce qu'il a réellement semé. Par ailleurs, quels que soient la nature et l'abondance de nos semis, tout le monde de toutes façons, et dans le temps qui lui convient, remonte progressivement le courant vers la source.

Alors que faire pour en revenir aux questionnements qui pointent ? En ces temps précis, plus que jamais, chercher le repos de l'âme et nous tourner vers Gaïa. Le printemps qui s'annonce incarne une Nature plus proche de nous que les précédents. Le rayonnement de notre soleil et d'autres étoiles nous transforme jusqu'au fond de nos cellules et transforme tous les règnes de la Nature. Tous convergent à présent vers un point où la connexion avec les retardataires que nous fûmes est aisée. Ce n'est plus un privilège réservé jusque-là à ceux qui devaient montrer ce chemin, c'est un présent à portée de tous. Il est là et il nous faut juste réouvrir nos yeux et nos oreilles à cette présence bavarde que nous n'entendions plus. Selon ce que vous pouvez, allez dans la Nature, travaillez en conscience la terre de votre jardin, allez au contact des arbres, des animaux, toujours avec respect, pas dans l'esprit de celui qui décide, mais de celui qui écoute et qui s'accorde avant d'agir. Ne forcez rien, laissez venir, entendez ce qu'elle vous dit et vous verrez qu'elle est bien moins inquiète que vous. Ce qui vous sera donné ainsi dépasse de loin ce que vous imaginez. La Nature est un orchestre dont nous ne sommes pas le chef mais un pupitre parmi d'autres. Il est temps de se mettre au diapason. Nous avons tous ensemble et avec elle une symphonie à jouer pour saluer la marée montante.

Fraternellement,

© Le Passeur – 22 Mars 2012 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de ne pas l'associer à une démarche commerciale, de respecter l'intégralité du texte et de citer la source.


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vendredi 23 mars 2012

Message de Laurent Dureau




 
Le courage managérial (3) : Le Déficit d'Ecoute
 
 Nous avons vu, lors du précédent article, que l'indécision est l'une des pires choses qui peut arriver à tout être humain, particulièrement s'il a une fonction de management. Nous savons que la vie n'est, en réalité, que prise de décision. Sans décision, sans choix, la vie n'existe tout simplement pas.
Nous vivons dans un monde de dualité afin d'expérimenter entre un côté ou un autre jusqu'au jour où l'on découvre la troisième voie : celle du recul qui permet de voir l'ensemble comme un et indivisible. L'indécision est l'aînée de la famille et nous allons maintenant aborder son petit frère…

Alors, quelle est la couleur des yeux de celui qui se cache derrière cette indécision ? Il est facile à découvrir si l'on se pose les bonnes questions car l'être humain est une personne qui se doit de communiquer pour vivre.
Alors avant de parler, de prendre une décision, il lui faudra écouter, entendre, ressentir une énergie, une information qui peut se montrer sous forme d'odeur, de toucher, de pression, de regards, de comportement, de paroles, d'écrits, de films, de musique, etc…
Le 2ème membre de la famille s'appelle donc : Déficit d'écoute.
C'est vrai, pris dans toutes nos activités, tous nos centres d'intérêts et tous nos besoins personnels, le déficit d'écoute non seulement nous enferme dans nos convictions, nos croyances, notre art de vivre mais aussi dans une « mollesse » décisionnelle.
C'est vrai que dans un premier temps, cette mollesse décisionnelle ne nous semble pas valable car on est persuadé que nous prenons toujours des décisions. C'est vrai mais la vraie question concerne la portée de nos décisions !
Décider ce que l'on va manger ce midi ne requiert que peu d'engagement par rapport aux autres et à nous-mêmes. Ce genre de décision relève plus de l'automatisme, de l'habitude et rarement du courage.
Par contre, écouter les autres, leurs idées, leurs revendications, leurs propositions d'améliorations nous amènera forcément dans une zone moins « sécurisée » et remettra en cause bien souvent un mode de comportement managérial qui se doit d'évoluer.
L'une des composantes du courage managérial est de reconnaître qu'il ne faut pas faire la sourde oreille à ce que l'on ne veut pas voir, entendre ou traiter. Cela est un acte d'engagement afin que le changement puisse survenir ou apparaître.
Nous sommes dans un milieu en perpétuel mouvement et il est donc normal de devoir s'adapter et d'être ainsi confronté à des nouvelles situations demandant une décision. L'incertitude fait partie du monde managérial alors l'esquiver ne fait que renforcer l'image que vous n'êtes plus tout à fait le chef de la situation.
Le déficit d'écoute est d'abord un déficit d'attention au monde qui nous entoure.
Je comprends que l'individualisme et le renfermement des individus de notre société sont de plus en plus grands mais ce n'est pas une raison valable pour ignorer de plus en plus ceux qui sont dans notre entourage qu'il soit professionnel ou non.
Ne plus écouter les autres, ne plus leur porter attention, c'est tout bonnement renier leur existence, leur intelligence et leur unicité. C'est une autre manière de dire, tu n'existes pas non seulement dans ma tête mais surtout dans mon coeur.
Souvent, les gens disent que le contraire de l'amour c'est la haine. Eh bien, c'est tout simplement faux ! La preuve est simple. Qu'est-ce qui vous fait le plus mal au fin fond de vous : la haine ou l'indifférence ?
Si personne ne vous répond quand vous dites bonjour, si personne ne vous remarque quand vous êtes là, si personne ne vous porte attention, si tout le monde fuit votre regard, dites-moi combien de temps allez-vous tenir ?
L'indifférence tue littéralement l'être humain dans son coeur alors que la haine ne peut tuer que le corps. Quand vous avez la haine pour quelqu'un, vous pensez à lui, vous le portez en votre coeur mais d'une façon négative.
C'est cette négativité qui peut nous sembler dangereuse mais vous savez au moins que quelqu'un vous porte attention ! Et souvent, il arrive qu'il y ait des réconciliations car l'amour peut éteindre toute négativité mais ne peut rien faire contre l'indifférence.
Le déficit d'écoute, c'est d'un côté un signe d'enfermement sur soi-même (avec toutes les plus ou moins bonnes raisons du monde) mais c'est aussi dire littéralement aux autres : « Tu ne m'intéresses pas ». Ce qui laisse toutes les interprétations possibles pour ceux qui se sentent exclus de votre univers.
Alors le déficit d'écoute, dans le contexte du courage managérial, est une plaie dont il faut se tenir éloigné le plus possible. Ouvrez les écoutilles, passez un temps raisonnable à entendre, voir, communiquer avec vos collaborateurs.
Ainsi vous démontrerez qu'ils existent pour vous et qu'ils sont donc importants pour le bon fonctionnement de votre entreprise. Les écouter, c'est leur dire « je t'aime » d'une manière simple sans avoir à le dire et ils feront de même en retour même s'ils ne sont pas d'accord sur votre dernier refus concernant leur augmentation de salaire.
Le coeur prend toujours le dessus sur le mental alors ne croyez pas qu'en gérant les gens comme des pions, vous en ferez des collaborateurs heureux de travailler pour votre entreprise. Ils ne donneront le meilleur que si vous les écoutez.
Alors maintenant, posez-vous la question et faites un rapide audit de tous ceux que vous évitez, de tous ceux dont vous ne connaissez même pas le prénom voire le nom, de tous ceux qui pourraient faire beaucoup plus et qui se retiennent.
Le management est un mot qui veut tout dire et rien dire à l'image des mots liberté, amour, fraternité, équité, etc. Ce sont des mots étendards qui contiennent tout et leur contraire.et qu'il est bien d'utiliser politiquement pour rassembler avec le même discours les deux factions opposées.
On peut bien sûr vous apprendre des choses dans les écoles de management mais, somme toute, ce sera par votre attitude que vous arriverez à gérer les personnes dont vous avez la responsabilité.
Aucune technique, aussi brillante soit-elle, ne vous viendra à l'esprit à la vitesse de l'éclair pour répondre à un bonjour, un sourire ou un regard. A ce niveau, vous ne pouvez rien calculer mais seulement être vous, être véritable.
Tout délai anormalement long indiquera à votre interlocuteur que soit vous pédalez dans la semoule parce que vous avez fumé un joint, soit que le repas d'affaire a été trop chargé ou que vous essayez de le manipuler. Si vous cumulez les 3, il va falloir vous attendre à quelques séances de torpillage dans l'estime que l'on vous porte.
Et puis bien sûr, il y a les surdoués du mensonge, ou du paraître, qui pourront éventuellement s'en sortir honorablement dans l'instant mais ils se feront quand même avoir un jour ou l'autre. Cela pourra jouer avec les nouveaux venus mais les anciens sont déjà au parfum depuis longtemps.
En résumé, vous n'avez pas vraiment le choix si vous voulez être à la hauteur ! Il vous faut être tout simplement vous-même mais avec cette volonté d'écoute qui indiquera que vous désirez communiquer avec votre prochain car, in fine, vous avez compris que sans les autres vous n'êtes rien.
Laurent DUREAU
Article paru à l'origine sur le blog Booster Votre Influence le 13 mai 2008 et réactualisé sur le blog 345D le 26 février 2012.
Article suivant: Le courage managérial (4) – La non-reconnaissance
Article précédent: Le courage managérial (1-2) – L'indécision

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jeudi 22 mars 2012

INREES | Et si l'altruisme était l'avenir ?


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Le monde est en train de changer. Et si l'altruisme, et les forces de l'esprit, étaient l'avenir ? Découvrez dans le prochain numéro d'Inexploré les confidences intimes et surprenantes de Jacques Attali, un homme au cœur de la vie intellectuel, politique et économique française. Un entretien exlusif...


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La part spirituelle de Jacques Attali
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mercredi 21 mars 2012

INREES | Des animaux thérapeutes...

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On connaissait l'effet bénéfique d'une présence animale sur les êtres humains. De là à imaginer nos amis les bêtes faire leur entrée dans les hôpitaux français... Pourtant, depuis près de trois ans, la zoothérapie, testée dans certains établissements, permettrait d'améliorer la santé physique et mentale... Lire la suite »


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lundi 19 mars 2012

Univers parallèles et lignes du temps


 

 
 
Univers parallèles et lignes du temps


10/03/2012

"Nous avons montré à notre canal plusieurs lignes du temps qui s'entrecroisent, et ces lignes du temps concernent aussi des univers parallèles. Que peuvent représenter pour vous des univers parallèles ? Des mots, des concepts, mais pas encore une réalité !

Si vous aviez conscience de l'immensité de la Création ! Il existe des univers parallèles, et il existe également le double ou le frère jumeau de votre univers, et ces deux univers peuvent s'interpénétrer. Imaginez tout simplement que la Terre a une sœur jumelle dans un autre univers, un univers parallèle, et que vous aussi avez un double de vous dans le même univers parallèle. Les lignes du temps des univers parallèles peuvent se croiser, se chevaucher, et il est possible de sauter d'une ligne à l'autre en permanence.

A l'époque actuelle, vous avez votre propre ligne du temps qui doit vous mener essentiellement à votre transition, à la cinquième dimension. Cependant il y a des univers parallèles qui n'ont pas le même objectif. Ils ont un autre destin évolutif ; ils se ressemblent mais ils n'évoluent pas forcément de la même façon que le vôtre.

Nous aimerions d'ailleurs mieux parler « d'univers miroirs » que d'univers parallèles.

Ils me disent donc :

« En ce moment, vous vivez beaucoup de distorsions dues au changement de dimension, aux immenses énergies que reçoit la planète Terre. Des énergies appartenant à d'autres univers ne voudraient pas que votre petit système solaire puisse s'élever vers la cinquième dimension. Elles voudraient maintenir votre système solaire loin d'elle.

En fait le système solaire n'est rien. C'est tout un ensemble qui est en train de monter encore et encore dans une vibration extraordinaire, et certaines énergies, pour leur puissance et leur domination, voudraient bloquer cette vibration pour avoir encore la mainmise sur cet ensemble.

Que font-elles donc ? Elles essaient de manipuler la ligne du temps en passant par des univers parallèles car c'est plus facile pour elles. Cependant cela ne se passe pas comme elles le souhaitent donc elles essaient de freiner l'évolution et le résultat final de cette évolution.

Elles n'y arriveront pas, parce que tout est prévu dans le plan divin".



Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
qu'il ne soit pas coupé
qu'il n'y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site
http://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

 

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Sil-te-plaît, pardonne moi

L'effet de vos pensées, de vos paroles

Méditation guidée

Vibration de Saint Germain Le beau Danube bleu

https://www.youtube.com/watch?v=_CTYymbbEL4

Vibration du Maître ascensionné Saint Germain La valse de l empereur