Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi

Jésus a dit "Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi, pas dans des palais de bois ou de pierre"



Jésus dit "Fend le bois je suis là; soulève la pierre et tu m'y trouveras!"




lundi 11 novembre 2013

La paresse et ses dangers pour l'âme



Nouvelles révélations du Christ

7 / G.E.J./ 171 - 176

Le Seigneur révèle à nouveau textuellement d'un enseignement qu'Il avait donné à Ses disciples pendant Son ministère terrain, mais qu'il n'a pas été inclus dans les Évangiles

La paresse et ses dangers pour l'âme

 

Le Seigneur explique le deuxième et troisième chapitre d'Isaïe

 

1. Le Seigneur : …nous descendîmes rapidement au village, chez  Nicodème, afin de bénir sa maison selon son vœu secret. Comme nous étions dans la maison, nous entendîmes bientôt un grand vacarme sur la place du marché, et notre Agricola demanda sur un ton brusque et impérieux ce qui se passait là-dehors.

2. Je lui dis : « Ami, tu n'as guère besoin de poser de telles questions quand Je suis près de toi ! Ne connais-tu donc toujours pas la puissance dont Je dispose ? De plus, il ne se passe assurément rien dans l'infini tout entier que Je ne le sache; aussi, ne t'inquiète plus de ce genre de chose, du moins en Ma présence ! »

3. Agricola : « Je Te rends grâce, ô Seigneur, de cette remontrance, dont je me souviendrai toujours à l'avenir ! Car c'est encore mon principal défaut que de m'emporter en pareil cas. Je pense désormais très souvent à la patience que Tu estimes tant, Seigneur, et je veux la faire tout à fait mienne ; mais lorsqu'une tentation se présente à moi trop soudainement, mon vieux péché reparaît aussitôt. Mais à présent, Je lui donne congé pour toujours »

4. Je dis : « C'est une fort bonne résolution, même si tu dois commettre encore quelques fois ce vieux péché...

5. Mais apportez-Moi le livre du prophète Isaïe, car Je dois vous en expliquer un passage important. »

6. Là-dessus, Nicodème M'apporta le livre sans retard. Je l'ouvris aussitôt au deuxième chapitre et lus ces mots aux personnes présentes :

7. « ''Vision d'Isaïe, fils d'Amoç, au sujet de Juda et de Jérusalem. Il arrivera dans les derniers temps que la montagne où se tient la Maison du Seigneur sera plus haute que toutes les montagnes et s'élèvera au-dessus de toutes les collines, et tous les païens(*) accourront vers elle." » (Is 2,2.)

8. Nicodème et les deux Pharisiens demandèrent alors : « Seigneur, où est la montagne du Seigneur, où se tient Sa maison ? »

9. Je dis : « Voyez comme vous êtes encore emplis de la matière de ce monde ! Ne suis-Je pas la montagne des montagnes, celle où se tient la vraie maison de Dieu ? Et qu'est-ce que cette maison si habitable ? C'est Ma parole, celle que Je vous ai annoncée depuis des siècles, à vous, les Juifs, à travers tous les prophètes, et que Je vous annonce à présent par la bouche du Fils de l'homme. Je suis donc la montagne, et Ma parole est cette maison habitable sur la montagne, et voici autour de nous les païens venus de toutes les parties de la terre pour voir cette montagne et pour demeurer dans sa vaste maison.

10. Mais pour les Juifs tels qu'ils sont à présent, ce sont vraiment les derniers temps, parce qu'ils ont fui la montagne et sa maison et que les grands menacent même de la détruire. - Comprenez-vous à présent ce verset ? »

11. Ils dirent tous : « Oui, Seigneur, c'est tout à fait clair à présent : mais il y a dans ce chapitre d'autres versets que nous sommes bien loin de comprendre. Explique-les-nous, ô Seigneur! »

12.Je dis : « Ayez seulement un peu de patience. Car on ne casse pas un arbre sur un genou !

13. Isaïe dit ensuite : "Des peuples nombreux viendront alors (c'est-à-dire dans l'avenir) et diront : Venez, montons à la montagne du Seigneur, à la Maison du Dieu de Jacob, qu'Il nous enseigne Ses voies et que nous suivions Ses sentiers. Car de Sion viendra la Loi et de Jérusalem Sa parole. " (Is 2,3.)

14. Par Sion (Z'E ON = Il veut), il faut entendre la montagne, c'est-à-dire le Seigneur ou Moi-même, et par Jérusalem, la maison de Dieu sur la montagne, c'est-à-dire Ma parole et Ma doctrine, à présent et pour toujours : Je crois que vous n'avez plus aucun doute là-dessus.

15. Mais quels sont ces peuples qui disent : "Venez, montons à la montagne du Seigneur - c'est-à-dire vers le Fils de l'homme ou l'homme-Dieu -, à la Maison du Dieu de Jacob, qu'Il nous enseigne Ses voies et que nous suivions Ses sentiers? »

16. Ces peuples sont tous les hommes qui, dans l'avenir, se tourneront vers Moi, s'approprieront Ma parole et suivront Ma volonté; car Ma parole montre les voies de la Vie, et les sentiers sont Ma volonté annoncée aux hommes par Ma parole, et il est certes bien plus difficile d'observer strictement Ma parole que de se contenter de l'entendre, comme il est assurément plus commode de marcher sur une large route de plaine que de suivre d'étroits sentiers souvent fort abrupts.

17. Mais celui qui, en lui-même, veut monter sur la plus haute de toutes les montagnes et entrer dans Ma parole vivante, qui est la maison de Dieu sur la montagne, ne peut se contenter de marcher sur la route qui mène à la montagne et de rester dans la plaine, mais il doit prendre les étroits sentiers souvent abrupts ; car eux seuls mènent tout en haut de la montagne, donc à la maison vivante de Dieu.

18. Vous savez maintenant ce que cela signifie, et vous avez sans doute compris ce que le prophète entendait par Z'EON et JERUZALEM ; c'est aussi pourquoi il dit que la Loi, donc Ma volonté, vient de Z'EON, et Ma parole de JERUZALEM -c'est-àdire naturellement de Ma bouche.

19. Et celui qui entend, reçoit et suit Ma parole, celle que J'ai annoncée de tout temps aux hommes à travers les prophètes, celui-là vient à Moi, donc à la parole vivante et à sa force ; car Je suis Moi-même la parole vivante et sa force, et tout ce que renferme l'espace infini n'est pas autre chose que Ma parole vivante avec sa puissance et sa force éternelle. - Comprenez-vous cela aussi ? »

20. Un docteur de la loi, qui était l'un des Pharisiens venus à Moi au mont des Oliviers répondit : « Seigneur et Maître, Ton explication de ces deux versets était aussi lumineuse que le soleil de midi, et tout me paraît désormais clair et évident; mais le quatrième verset dit ceci:

21. ''Le Seigneur jugera entre les païens et châtiera des peuples nombreux. Alors, ils feront de leurs épées des socs de charrues, et de leurs lances des serpes ; car aucun peuple ne lèvera plus l'épée contre un autre, et les hommes n'apprendront plus à faire la guerre." (Is 2,4.)

22. Qui sont donc ces païens, et ces peuples qui, une fois punis, ne pourront plus se faire la guerre ? Il doit s'agir de peuples qui ne naîtront que dans un lointain avenir ; car, avec leurs rois orgueilleux, avides et tyranniques, les générations présentes feraient la guerre jusqu'à la fin des temps. »

23. Je dis : « Tu es bien un docteur de la loi, car tu te souviens fort bien des lois et des Prophètes, mais sans avoir jamais rien compris à leur véritable esprit ! Tu marchais sur la large route unie, mais l'étroit sentier qui mène à la montagne de la vraie connaissance, tu n'y as encore jamais posé le pied.

24. Celui qui n'atteint pas le sommet de la montagne du Seigneur et n'entre pas dans la maison de Dieu, c'est-à-dire n'atteint pas en lui-même la parole intérieure divine et la parole vivante de Dieu, celui-là ne connaît pas non plus le véritable esprit profond et vivant de la Loi et des Prophètes. »

Le Seigneur explique les représentations de l'avenir dans Isaïe. (Is 2,1-5)

 

1. Le docteur de la loi : « Mais pourquoi tous les prophètes ont-ils ainsi parlé et écrit à mots couverts ? Il devait pourtant leur importer plus qu'à quiconque que leurs paroles fussent comprises des hommes ! »

2. Je dis : « Ces objections ont déjà été faites il y a quelques jours au mont des Oliviers, et Je vous ai montré qu'elles n'étaient pas fondées. Je n'ai donc pas besoin de répéter ce que J'ai déjà dit.

3. Que serait donc une parole divine qui n'aurait pas de sens profond ? Peux-tu concevoir un homme sans entrailles, ou bien qui, telle une goutte d'eau, serait si transparent que l'on verrait tous ses organes, qui,bien que fort artistiquement conçus, ne manqueraient pas de te dégoûter?

4. Apprenez enfin à penser avec une vraie sagesse ! En attendant, Je vais vous expliquer le vrai sens de ce quatrième verset d'Isaïe, qui est évident aussi, écoutez-Moi bien.

5. "Le Seigneur - que Je suis en parole - jugera entre les païens et châtiera des  peuples nombreux."

6. Qui sont ces païens, et qui sont ces peuples ? Les païens sont tous ceux qui ne connaissent pas l'unique vrai Dieu et, à Sa place, adorent et honorent avant tout  des idoles mortes et le Mammon du monde. Ils entourent les Juifs de toutes parts, et, où que vous alliez sur cette terre - vers le levant, le midi, le ponant ou le septentrion - vous n'y trouverez que des païens de toute espèce ! Cependant, vous le savez, de toutes les parties du monde proches ou lointaines, les païens de toute condition sont venus à Moi. Ils ont entendu Ma parole et ont vu Mes signes, ils ont embrassé Ma doctrine, et Ma parole règne et juge donc parmi eux, et, en cela, ils ont cessé d'être des païens pour faire désormais partie des oints de Dieu et du vrai peuple de Dieu.

7. Mais eux non plus ne garderont pas cette doctrine et ces dispositions ; car bientôt, de faux oints se lèveront parmi eux et donneront des signes qui séduiront rois et princes ; ils prendront un grand pouvoir sur le monde et persécuteront par le feu et le glaive ceux qui ne voudront pas se rallier à eux, et ils se diviseront finalement en sectes et partis nombreux, qui sont les peuples nombreux que Je punirai, Moi le Seigneur, pour leur cruauté, leur fausseté, leur égoïsme, leur orgueil, leur obstination, leur tyrannie, et enfin toutes leurs méchantes querelles,

leurs persécutions mutuelles et leurs guerres. Et, jusque-là, il s'écoulera le même temps qui s'est écoulé de Noé jusqu'au temps présent(*). ((*) Noé est mort en 2145 av. J.-C).,

8. Et il arrivera dans ces temps futurs ce qui est arrivé au temps de Noé, où les hommes recherchaient les mariages, organisaient de grands festins, recevaient des honneurs extrêmes et faisaient la guerre à tous ceux qui refusaient de se courber devant leurs idoles, et c'est pourquoi le Déluge est venu noyer les auteurs de ce mal, comme il arrivera dans ces temps futurs. Mais alors, c'est avec le feu de Son courroux que le Seigneur viendra balayer de la surface de la terre les auteurs du mal.

9. Il arrivera alors que les bons et les purs qui auront été épargnés, les vrais amis de la vérité et de la lumière divine, feront avec les épées des socs, avec les lances des serpes, et renonceront tout à fait à l'art de la guerre, et dès lors, aucun de ces vrais peuples oints ne lèvera plus l'épée contre un autre, à l'exceptions des païens qui seront encore dans les déserts de la terre ; mais ceux-là aussi seront avertis, puis balayés de la terre.

10. Alors, la Terre sera de nouveau bénie. Tout ce que portera son sol fructifiera au centuple, et le pouvoir sera donné aux anciens sur tous les éléments.

11. Voilà comment il faut comprendre, selon l'esprit, ce quatrième verset qu'un docteur de la loi comme toi trouvait si incompréhensible !

12. Mais, bien sûr, à l'intérieur de ce sens naturel réellement spirituel, il y a un autre sens caché, purement spirituel et divin ; mais votre entendement encore trop exclusivement terrestre ne saurait le comprendre, et il est impossible de le traduire par des mots. Mais quand vous serez dans la maison de Dieu, sur la montagne du Seigneur, et que vous serez donc de cette maison de Jacob dont parle le prophète dans le bref cinquième verset, vous marcherez dans la vraie lumière de l'Esprit divin. (Is 2,5.) - Dis-Moi à présent si tu comprends mieux tout cela ! »

 

Sur l'apparente injustice des destinées humaines

 

1. Le docteur de la loi : « Oui, Seigneur et Maître, c'est assurément ainsi qu'il faut comprendre ce prophète et que ses paroles prennent un sens clair et authentique, même si l'on peut encore se poser cette question : pourquoi permets-Tu, Seigneur, que les hommes qui viendront dans deux mille ans redeviennent aussi mauvais que ceux du temps de Noé ? Et pourquoi faut-il que ce soient presque toujours les pauvres gens qui souffrent le plus, même lorsqu'ils mènent une vie aussi agréable à Dieu que possible ?

2. J'ai moi-même connu le cas d'une famille pauvre qui suivait strictement les commandements de Dieu et possédait un tout petit bien ; non loin d'elle vivait, sur un grand domaine, une riche famille fort considérée, mais peu charitable. Elle ne faisait jamais l'aumône aux pauvres, tandis que la famille pauvre ne refusait jamais de partager son pain avec d'autres. Un jour où le temps était fort lourd, arriva un violent orage, et l'éclair frappa la hutte de la bonne famille pauvre, qui était alors aux champs et moissonnait son orge. La hutte brûla avec tout ce quelle contenait : vêtements, provisions et les ustensiles domestiques indispensables. Or, le même orage passa au-dessus de la maison de la riche famille sans coeur sans lui causer le moindre dommage. Pourquoi donc est-ce le riche impitoyable qui a été

épargné au lieu du pauvre ?

3. De telles choses arrivent très souvent et poussent facilement les hommes à croire que Dieu n'existe pas, ou qu'Il ne Se soucie pas du tout d'eux, et j'y vois l'une des premières causes du déclin de la foi. Car tout homme a un sens naturel de la justice, étroitement lié à la croyance en un Dieu bon et parfaitement juste; si ce sentiment est trop souvent bafoué, et d'une manière par trop révoltante, la foi s'affaiblit elle aussi à la longue, et l'homme s'enfonce peu à peu dans les ténèbres de l'incroyance ou de la superstition, cherchant un secours et une consolation

partout où on les lui propose, et c'est ainsi qu'il devient idolâtre ou stoïcien.

4. Bien sûr, une fois que la plus grande partie de l'humanité est ainsi devenue, au fil des siècles, aussi méchante que possible, les châtiments se mettent à pleuvoir les uns après les autres ; mais je crois qu'ils ne seraient pas nécessaires si les hommes ne voyaient pas si souvent leur foi éprouvée par les événements.

5. Je ne juge là qu'en homme de nature ; mais la plupart des hommes jugent de même, et n'en deviennent pas meilleurs. - Que réponds-Tu, Seigneur et Maître, à cette question ? »

6. Je dis : « Qu'est-il arrivé à ta famille pauvre après son malheur ? Est-elle restée ainsi, et a-t-elle langui dans la misère et la détresse ? »

7. Le docteur- de la loi : « Pas précisément, car son malheur a touché le coeur de ses voisins, et ce qu'ils lui ont donné l'a rendue plus riche qu'avant.

8. Mais il y a aussi des cas où une famille frappée par le malheur sans qu'il y ait de sa faute reste malheureuse – et, selon moi, ce sont essentiellement ces cas, d'ailleurs les plus fréquents- qui rendent l'humanité mauvaise. Ai-je tort, là aussi, de penser cela ? »

9. Je dis : « Tout d'abord, de tels cas sont rares, et ensuite, lorsqu'ils surviennent, il y a certainement à cela une bonne raison. Par exemple, dans l'exemple que tu as cité, la raison du malheur de cette pauvre famille était celle-ci : sa cabane était déjà toute vermoulue, et le moindre tremblement de terre l'eût détruite, au risque de tuer ses honnêtes habitants- C'est pourquoi ils avaient déjà sollicité à plusieurs reprises un secours de leurs riches voisins afin de pouvoir se construire une nouvelle demeure, mais ils n'avaient pas été entendus. Un jour, il fut donc permis à la foudre de détruire la vieille cabane vermoulue. C'est alors que le coeur de ces

voisins fut touché ; réunissant un petit capital, ils construisirent pour la famille pauvre une nouvelle demeure plus solide et la remplirent même de tant de provisions que la famille pauvre se trouva mieux pourvue qu'avant son malheur et put ensuite d'autant plus facilement faire le bien à de plus pauvres. Ainsi, ce prétendu malheur fut au contraire, pour cette honnête famille, un bonheur prévu et permis Par Moi.

10. Et lorsque les épreuves continuent de poursuivre les hommes une fois que le malheur est là, c'est qu'une telle famille tombe toujours dans la misère par sa propre faute. Une fois devenue pauvre, elle est souvent frappée par un nouveau coup encore plus rude destiné à la réveiller de ses habitudes de paresse, et c'est encore sa faute si elle s'obstine dans cette paresse, donc si elle reste malheureuse. Ces sortes de gens, bien sûr, pensent alors que Dieu n'a pas exaucé leurs prières, ou qu'Il ne Se soucie pas du tout des hommes ; mais c'est seulement qu'ils sont eux-mêmes paresseux. Ils ne mettent pas plus de sérieux dans les travaux de ce monde que dans l'observance des commandements divins et dans leurs prières à un Dieu auquel ils ne se confient pas, et c'est pourquoi ils sont abandonnés à leurs ennuis jusqu'au jour où, enfin réveillés malgré tout par une misère de plus en plus oppressante, ils retrouveront un peu plus de bonheur. 11. Écoute ceci : il y avait jadis en Orient un roi qui régnait sur un grand peuple. Mais le peuple qui vivait dans ce beau pays devint paresseux et s'appauvrit d'année en année. Alors, le roi se mit à réfléchir aux moyens de remédier à ce mal.

12. Une bonne idée lui vint, et il se dit : "Je vais faire peser sur ce peuple un impôt plus lourd qu'il aura du mal à payer, et mes soldats l'exigeront avec une sévérité impitoyable aussi longtemps que tout le peuple ne se sera pas remis au travail !

13. Sitôt dit, sitôt fait ! Au début, le peuple murmura, se plaignit beaucoup, et se serait révolté contre la dureté supposée de son roi, s'il avait pu sortir plus facilement de sa paresse ! Cependant, l'urgence de la nécessité poussait le peuple à travailler davantage. Il commença à s'enrichir, et bientôt, il paya plus facilement au roi le lourd tribut exigé qu'auparavant un faible tribut.

14. Au bout de quelques années, voyant que son peuple était devenu travailleur et zélé, le roi envoya aux quatre coins du royaume des hérauts qui annoncèrent une importante diminution de l'impôt.

15. Mais les anciens du peuple dirent "Nous remercions notre sage roi de cette faveur, mais, pour le bien du peuple, nous le supplions de maintenir l'impôt actuel ; car, dès que le peuple aura moins à payer, il redeviendra bientôt paresseux et oisif et aura finalement plus de peine à acquitter un petit impôt qu'aujourd'hui un  gros!

16. Le roi loua fort la sagesse des anciens qui avaient exprimé cette opinion, et il vit que son peuple devenait toujours plus travailleur, et par là plus riche et plus heureux. Et le peuple, apprenant par ses anciens que le sage roi ne lui avait imposé se lourd impôt que pour le rendre plus travailleur et plus heureux, loua la sagesse du roi et lui paya de son plein gré plus qu'il ne lui était demandé.

17. Vois-tu, s'est ainsi que J'agis Moi-même envers les hommes paresseux et oisifs ! Est-ce leur faire du tort ? »

18. Le docteur de la loi : « Seigneur, tout est de nouveau clair à présent, et je Te rends grâce du plus profond du cœur pour cette lumineuse explication !

19. Cependant, je T'en supplie instamment, poursuis Ton explication d'Isaïe car le sixième verset est encore plus obscur que les cinq précédents ! »

 

Explication d'Isaïe 2,6-22.

Révélations sur la grâce par la nouvelle lumière

 

1. Je dis : « Fort bien, ainsi, écoutez encore la Parole. Voici ce que dit ensuite le prophète :

2. "Seigneur, Tu as permis que Ton peuple abandonne la maison de Jacob car Tes peuples font désormais pis que les étrangers du Levant ! Ils sont désormais magiciens (et devins) comme les Philistins, et font leurs beaucoup d'enfants étrangers. Leur pays est rempli d'argent et d'or, et leurs trésors sont sans limites ; leur pays est rempli de chevaux, et leurs chars sont sans nombre. Et leur pays est rempli d'idoles, et eux, les hommes, adorent l'oeuvre de leurs mains, se qu'ont fabriqué leurs doigts. Alors, la populace se courbe, le hobereau s'humilie. Ne leur pardonne pas, Seigneur ! Va-t'en, peuple infidèle, dans les rochers de la montagne, cache-toi dans la terre, par crainte du Seigneur et de Sa majesté glorieuse !" (Is 2,6-10.)

3. Ces cinq versets vont ensemble, parce qu'ils décrivent l'état de misère de l'Église ou de la maison de Dieu sur terre, tant chez les Juifs du passé que chez ceux qui viendront après nous.

4. C'est à cause de sa paresse dans la pratique des commandements divins que Je permets que Mon peuple quitte la maison de Jacob, sur la montagne du Seigneur, et imite fidèlement les agissements des peuples les plus brutaux et les plus paresseux, qui vivent comme des bêtes sauvages dans les pays du Levant.

5. Et ce que font aujourd'hui les Pharisiens et les Juifs qui leur ressemblent, nos descendants le feront aussi : ils institueront une foule de jour, auxquels ils attribueront un pouvoir et un effet particulier, et ceux qui parleront contre eux seront persécutés par le feu et le glaive. De plus, ils interpréteront les signes, prédiront le bonheur ou le malheur des gens et, pour cela, se feront louer et payer sans aucune mesure ; car ce travail d'oisif rapporte assurément davantage que le soc de la charrue et que la faucille.

6. Et, pour grossir encore leur rente d'oisifs, ils enverront leurs apôtres de par le monde, tels les Pharisiens aujourd'hui, et feront des étrangers leurs enfants. En tant que païens ignorants, ceux-ci ne faisaient déjà rien de bien ; mais, devenus de vrais Philistins du monde, ils seront cent fois pires qu'avant ! C'est ainsi que leur pays ignorant se remplira d'or et d'argent, leur désir des richesses de ce monde sera sans limites et sans fin, et de même, donc, leur désir de régner et leur fureur guerrière - ce que le prophète exprime par l'image des chevaux et des chars innombrables. Et le territoire sur lequel ils régneront se couvrira à son tour d'idoles et de temples, de même que, malgré les avertissements de Dieu en personne, Salomon le Sage avait entrepris, à cause de ses épouses étrangères, de faire édifier des temples d'idoles autour de Jérusalem. Les sots aveugles s'inclineront devant ces idoles et adoreront ainsi l'oeuvre de leurs mains et de leurs doigts, pensant stupidement être ainsi agréables à Dieu. Et ceux qui ne le feront pas seront persécutés à mort. Car, pour la gloire de leur trône, bien des rois se   allieront aux absurdités des Philistins du monde et poursuivront par le feu et le glaive les amis toujours peu nombreux de la lumière et de la vérité vivante.

7. Et c'est alors que le Seigneur viendra châtier ces peuples qui, sous le couvert de Son nom, auront trompé tant d'hommes !

8. Alors, la vraie lumière vivante surgira de tous les côtés à la fois, et les amis des ténèbres seront vaincus pour toujours. Ils s'enfuiront sans doute vers les rochers (les grands et les puissants de la terre) et, par crainte de la vérité et de la majesté du Seigneur, s'enfouiront dans leur sol stérile ; mais cela ne les servira guère.

9. Car voici ce que le prophète dit et proclame ensuite : "Car les yeux superbes (l'orgueil des souverains) s'humilieront, et les grands devront se courber ; car le Seigneur seul sera élevé, en ce temps-là et pour toujours [Is 2,11]. Car le jour (la lumière) du Seigneur Sabaoth se lèvera sur tout ce qui est orgueilleux et hautain, sur tout ce qui est élevé, pour qu'il soit abaissé [2,12] ; sur tous les cèdres hautains du Liban (les prêtres) et sur tous les chênes de Basân (les principaux soutiens de tout temps de la prêtrise idolâtre) [2,13] ; sur toutes les hautes montagnes (princes) et sur toutes les collines hautaines (courtisans) [2,14] ; sur toutes les  hautes tours (généraux) et sur tous les remparts (armées) [2,15] ; sur tous les vaisseaux sur la mer (ceux qui sont à la barre des États) et sur tout le précieux travail de ce monde (l'industrie des grandes nations) [2,16]. Et cela arrivera afin que tout ce qui était élevé par les hommes soit abaissé et que tous les grands soient humiliés , et le Seigneur seul sera exalté en ce temps-là [2,17]. Alors, tous les faux dieux disparaîtront [2,15]. Oui, on ira encore dans les cavernes des rochers et dans les fissures de la terre (les cachettes de Mammon), par crainte du Seigneur et de Sa majesté glorieuse (la lumière de la vérité éternelle), quand Il Se lèvera pour faire trembler (punir) la terre [2,19]. Oui, en ce temps-là, chacun jettera dans les trous des taupes et des chauves-souris ses idoles d'argent et d'or - celles qu'on lui aura fabriquées pour qu'il les adore[2,20] -, afin de ramper plus facilement dans les fentes et les crevasses des rochers, par crainte du Seigneur et de Sa majesté glorieuse, quand Il Se lèvera pour faire trembler la terre [2,21] ; mais rien n'y, fera. Aussi, tenez-vous à l'écart de l'homme qui a quelque souffle dans les narines (le souffle dans les narines représente l'orgueil terrestre) ; car vous ne savez pas ce qu'il vaut en ce monde ! »[2,22]

10. Vous avez là l'explication, facilement compréhensible, de tout ce deuxième chapitre si important d'Isaïe. Les derniers versets s'éclairent d'eux-mêmes lorsqu'on a bien compris les premiers.

11. Mais, Je vous le dis, tout cela arrivera vraiment dans très peu de temps, et ensuite dans sa pleine mesure au bout de quelque dix-neuf siècles ; car, même pour Moi, si les hommes doivent garder tout leur libre arbitre, il n'y a pas d'autre moyen pour remédier avec quelque succès, de temps à autre, à la paresse humaine, qui est source de tous les péchés et de tous les vices. - Avez vous bien compris ?

12. Vous en éprouvez certes moins de joie à présent, mais celle des peuples à venir sera d'autant plus grande quand, bientôt, vous leur annoncerez cette nouvelle dans leur grande tribulation, en un temps où chaque peuple se dressera contre un autre pour causer sa perte. - Mais le chapitre suivant nous en apprendra davantage !

13. Dites-Moi pourtant comment vous avez compris ce passage si important. Je dis "si important", parce que, en tant que Mes successeurs, Je veux avant tout que vous ayez à coeur, vous et tous vos disciples, de vous garder de la paresse. Dites- Moi donc quel sens sous trouvez à ce chapitre d'Isaïe ; il sera plus facile ensuite de passer au troisième chapitre. »

14. Les disciples et toutes les personnes présentes dirent d'une seule voix : « Seigneur, tout ce que Tu ordonnes, veux et permets est à coup sûr parfaitement bon, sage et juste ; car Tu sais mieux que quiconque, Toi le Créateur et le Maître des hommes et de toutes les choses de ce monde, ce qui leur convient le mieux. Si  l'argent, l'or, les pierres précieuses et les perles ne servaient qu'à faire le malheur des hommes, Tu ne les aurais certes pas créés !

15. Hors Toi, qui peut savoir si, sans ces mille et mille objets qui les séduisent, les hommes ne seraient pas devenus bien plus paresseux encore qu'ils ne le sont devenus à cause d'eux et ne le deviendront par la suite ? Et si, par excès d'amour pour ces séduisants objets, bien des hommes aveuglés par le faux éclat de l'or deviennent de vrais diables humains, Tu disposes d'une infinité de moyens pour les punir, et il nous semble qu'à la fin des temps terrestres, tout devrait pouvoir encore se décider selon Tes mystérieux décrets éternels.

16. Nous qui sommes Tes disciples élus, nous mettrons assurément tout en œuvre pour maintenir les hommes dans une bonne et juste activité et pour les encourager et les fortifier en ce sens. Reste à savoir, bien sûr, si leurs descendants continueront d'observer cela dans la suite des temps ! Mais Toi, Tu sauras bien faire arriver tout ce qui servira le mieux à l'amélioration des hommes, que ce soit guerre, peste, disette et famine, ou paix, bonne santé, années et saisons abondantes et fertiles ! Et, à présent que nous avons franchement exprimé notre opinion devant Toi, Seigneur, nous T'en prions, poursuis Ton explication du prophète. »

17. Je dis : « Cette fois, Je suis pleinement satisfait de vos propos, et, puisque vous avez bien compris l'explication de ce deuxième chapitre du prophète, nous pouvons passer rapidement en revue le troisième chapitre. Écoutez-Moi donc. »

 

Des conditions de l'ordre dans une communauté (Isaïe chap.3)

 

1. (Le Seigneur :) « Ce chapitre a lui aussi une valeur prophétique, tant pour l'époque présente que pour les temps futurs que Je vous ai déjà annoncés.

2. Voici ce que dit le premier verset, fort significatif : "Voici que le Seigneur Yahvé Sahaoth va ôter de Jérusalem toute provision, et de même pour tout Juda - toute réserve de pain et  toute réserve d'eau !" [Is 3,1]

3. Par le terme "Jérusalem il faut ici entendre l'ensemble des Juifs tels qu'ils sont aujourd'hui et depuis bien longtemps ; et par "Juda", les générations futures qui, ayant embrassé Ma doctrine, appartiendront dès lors à la tribu de Juda. À cause de leur grande paresse, ces générations devront s'attendre à connaître le même sort que les Juifs à présent, mais dans une mesure bien plus grande.

4. Ôter les réserves de pain, cela signifie que Dieu retire Son amour et Sa miséricorde, et les réserves d'eau, Sa vraie sagesse, avec pour conséquence que tous marcheront au hasard dans les ténèbres de l'âme et que nul ne saura en conseiller un autre ; et lorsqu'un homme en conseillera un autre, celui qui, étant dans l'obscurité, recevra son conseil, ne s'y fiera pas et dira : "Comment peux-tu me parler de lumière, toi qui es dans le noir tout autant que moi !'' Ainsi, à cause de leur paresse, les hommes deviendront par leur propre fautes tout à fait impuissants, ce que le prophète exprime fidèlement en ces termes dans les versets suivants :

5. "De même leur seront repris hommes forts et guerriers, juges et prophètes, devins et anciens [Is 3,2] conseillers et sages ouvriers, orateurs avisés et capitaines, plus de cinquante, et de même les gens de bien.'' [3,3]

6. C'est à dessein et pour de bonnes raisons que Je place ici les capitaines et les gens de bien à la fin du troisième verset et non tout au début. Écoutez-en l'explication.

7. Qui donc sont les forts et les guerriers ? Ceux qui, tel David autrefois, sont pleins de foi et de confiance en Moi, et les guerriers sont ceux qui, portés par cette foi et cette confiance, triomphent toujours des ennemis du bien et de la vérité divine, si nombreux soient-ils.

8. Mais quand l'eau vive des cieux viendra à manquer parmi les hommes et que toute chair sera entrée avec son âme dans de profondes ténèbres, qui parmi les hommes pourra être un juge bon et juste ? Qui aura le don de prophétie ? Et, quand bien même quelqu'un l'aurait, qui le croira si les hommes ne comprennent pas intérieurement qu'il dit vrai ! Qui pourra prophétiser pour des hommes à l'esprit aveugle et sourd ? Et quel véritable ancien les hommes ignorants éliront ils pour sa grande sagesse, de qui feront-ils leur pasteur ? Comprenez donc bien ce dont il s'agit !

9. Celui à qui Dieu reprend le pain et l'eau au sens spirituel, Il lui reprend tout, et la punition par l'aveuglement spirituel est la plus grande de toutes, car l'homme est alors impuissant et sans défense. C'est donc l'ultime remède lorsque la paresse des hommes a entièrement pris le dessus, et le moyen le plus efficace contre les vices innombrables qu'elle entraîne.

10. Que les hommes soient plongés dans la plus extrême détresse lorsque le pain et l'eau spirituels leur sont repris, et tout ce qui leur est repris par là, le prophète l'explicite encore davantage dans le troisième verset en disant que seront repris les conseillers et les sages ouvriers dans toutes les branches des besoins humains, donc également les orateurs avisés dont l'intelligence aurait sans cela fait beaucoup de bien.

11. Mais la conséquence la plus grave est que seront également repris, notez-le, cinquante capitaines ! Qui sont-ils, et que fait là le chiffre cinquante ? Nous allons le voir à l'instant.

12. Imaginons une très grande communauté humaine parfaitement ordonnée. Si elle veut être bien pourvue de tout, elle doit de tout temps constituer en tout cinquante branches pour satisfaire à ses besoins vitaux. Tout ce qui est au-delà appartient déjà à l'orgueil, et en deçà, c'est déjà la faiblesse, le manque et la pauvreté. Or, pour que chacune des branches ainsi comptées soit efficacement traitée et pourvue, elle doit avoir à sa tête un savant capitaine qui connaisse parfaitement du début à la fin la marche de l'ouvrage ; faute de quoi, si l'on met à la tête de cette branche nécessaire quelqu'un qui n'y connaît rien, elle ne servira bientôt plus que très mal, si ce n'est plus du tout, la communauté.

13. Et comment une grande Communauté subsistera-t-elle quand, par paresse et par négligence, elle aura perdu ses cinquante capitaines ? Je vous le dis : exactement comme subsiste aujourd'hui la grande communauté des Juifs, où seuls quelques voleurs possèdent encore quelque chose et s'engraissent aux dépens des milliers qui languissent sans espoir dans la plus extrême pauvreté. Car où est le sage capitaine qui s'occupera d'eux et leur donnera de l'ouvrage dans telle ou telle branche où ils puissent gagner leur pain ? Dans bien des cas, il a disparu, et avec lui tout le reste ! Certes, il existe encore dans les différentes branches des sortes de capitaines, mais qui les dirigent pour leur propre compte et non pour le peuple, et c'est pourquoi ils ne sont que des voleurs, non de vrais capitaines comme au temps de Mes Juges.

14. Vous le voyez, le bien-être physique et moral d'une grande communauté dépend de ceux qui dirigent ses différentes branches d'activité ; mais, dans un pays gouverné par un prince ou un roi, de qui donc dépend avant tout la mise en place de ces bons capitaines ? Précisément de la sagesse du roi !

15. Et, selon notre prophète, que fera le Seigneur à ces communautés paresseuses et impies ?

16. Voici ce qu'il dit ensuite : "Le Seigneur dit : Je leur donnerai pour princes des adolescents, et des gamins régneront sur eux [Is 3.4]. Les gens se tourmenteront les uns les autres, chacun contre son prochain, et le jeune garçon s'en prendra au vieillard, l'homme de peu et le menteur à l'homme de bien !" [Is 3,5]

17. Les paroles du prophète sont ici si claires et si véridiques qu'elles se suffisent à elles-mêmes, et Je puis seulement attirer votre attention sur les graves conséquences, bien qu'il soit facile de les découvrir. Lorsque, dans une semblable confusion, tous les domaines d'existence d'un pays sont jetés dans le plus grand désordre et que la misère a engendré le mécontentement de tous les membres de la communauté, les révoltes commencent à se succéder sans merci. Le peuple se réveille, se soulève et chasse les princes et les capitaines égoïstes, quand il ne les tue pas. Et c'est alors qu'on peut dire : "Un peuple part en guerre contre l'autre." !

18. Car la propension de l'homme à la paresse fait que, dans son aveuglement, il supporte n'importe quelle oppression tant qu'il a encore quelque nourriture pour calmer sa faim : mais, lorsque même cela cesse et qu'il n'a plus d'autre perspective que de mourir de faim, alors, il se réveille et devient une hyène furieuse. Et il faut en arriver là pour que l'humanité se réveille. »

 

L'effondrement des édifices des fausses religions une interprétation d'Isaïe 3,6-27

 

1. (Le Seigneur : ) « À présent, les hommes détruisent et massacrent tout ce qu'ils peuvent. Celui qui, à cause de son égoïsme et de son manque de charité, peut être rendu responsable de quelque manière du malheur commun, est tristement sacrifié à la vindicte populaire. Mais qu'arrive-t-il alors ? Il n'y a plus un seul chef, ni bon, ni mauvais. C'est l'anarchie la plus complète, où chacun peut faire ce qu'il veut, mais où un autre plus fort peut aussi le punir à sa guise.

2. Alors, les plus sages se réunissent et disent : "Rien ne va, et cela ne peut plus durer ! Nous qui sommes plus sages et plus forts, mettons-nous d'accord et persuadons le peuple d'élire avec nous un chef sage. C'est une grande maison, celle qui possède deux frères d'une expérience reconnue !'' Qu'arrive-t-il alors ? Le prophète nous le dit très exactement :

3. "Alors, un homme saisira son frère dans la maison de son frère(*) et lui dira "Tu as des vêtements (du savoir et de l'expérience), sois notre chef, et empêche nous de tomber ! " [Is 3.6] Et, en ce temps-là, il s'écriera : "Je ne suis pas médecin, et il n'y a chez moi ni pain (la bonté de la foi), ni vêtement (la vérité de la foi) ; ne me faites donc pas chef du peuple ! [3,7] Car Jérusalem est mûre et s'écroule, et Juda (les temps futurs) est à terre : car leurs paroles et leurs actes sont contre le Seigneur, ils défient les regards de Sa majesté (la lumière de Sa sagesse)

[3,8]. Et ils font tout cela devant le monde sans se cacher ; ils étalent insolemment leurs péchés, telles Sodome et Gomorrhe. Malheur à leurs âmes ! Car ils seront cause de leur propre ruine." [3,9]

4. Mais le prince élu, qui est peut-être Moi-même, dit encore : "Allez d'abord prêcher aux justes qu'ils deviennent bons, car ils se nourriront ensuite du fruit de leurs œuvres [3.10]. Mais malheur aux paresseux et aux impies, car ils sont toujours méchants, et ils seront récompensés selon leurs œuvres et selon leur mérite ! [3,11] C'est pourquoi des enfants sont princes de mon peuple, et même des femmes règnent sur eux (Dans ce verset, les enfants et les femmes remplacent les tyrans et les usuriers ). Mon peuple, tes (faux) consolateurs t'égarent (voir Rome) et effacent le chemin que tu dois suivre [3,12].

5. Mais le Seigneur Se dresse pour accuser. Il est venu (maintenant) pour juger les peuples [3,13]. Le Seigneur entre en jugement avec les anciens de Son peuple (l'Écriture) et avec Ses princes (ceux qui seront éveillés prochainement) :car vous (Pharisiens et Romains) avez dévasté la vigne, et ce que vous avez volé aux pauvres est dans votre maison [3,14].

6. Pourquoi piétinez-vous Mon peuple, pourquoi écraser davantage encore les malheureux ? Ainsi le Seigneur parle-t-Il (à présent) avec gravité [3,15]. "

7. Et le Seigneur dit encore : "Parce que les filles de Sion sont fières (les fausses doctrines de la prostituée de Babylone), qu'elles vont le cou tendu, le visage fardé, marchent avec orgueil (arrogance) et qu'elles traînent (comme un chien affamé), de précieuses sandales aux pieds [3.16], le Seigneur rendra chauve le crâne des filles de Sion (leur ôtera la raison), leur prenant leur unique et plus belle parure [3,17].

8. En ce temps-là, le Seigneur ôtera les ornements des sandales précieuses (ceux qui croient aveuglément), les crochets (les fidèles), boucles et brides (les différents ordres) [3,18], les colliers, les bracelets et les bonnets (les corporations de la superstition) [3.19], les paillettes, les ganses et les cordonnets d'or, les boîtes à parfums et les boucles d'oreilles [3,20], les bagues et les diadèmes [3,21], les vêtements de fête, les manteaux, les châles et les bourses [3.22], les miroirs, les voilettes, les turbans et les mantilles (tout le cérémonial brillant de la prostituée de Babylone) [3.23]. Alors, au lieu de baume, ce sera la pourriture, au lieu d'une belle ceinture, une corde, au lieu des cheveux ondulés (la ruse de serpent de la prostituée de Babylone), la tête rase, au lieu du grand manteau, un étroit sac de toile ; et tout cela prendra la place de leur beauté supposée [3,24].

9. Ta populace tombera sous l'épée, et tes guerriers au combat [3,25]. Et ses portes gémiront et seront dans le deuil (parce que nul ne voudra plus les passer), et, pitoyable, elle s'assoira par terre [3,26]. En ces temps de guerre, les hommes se feront si rares que sept femmes s'empareront d'un homme (les sept sacrements deviendront un seul) en disant : nous nous nourrirons et nous vêtirons nous mêmes, mais laisse-nous seulement porter ton nom, afin de nous ôter notre honte !" [3,27]

10. Voyez-vous, Mes amis, ce que le prophète annonce là s'accomplira aussi sûrement que Je vous l'ai expliqué en toute vérité. Car les hommes ne peuvent supporter très longtemps la vérité, ils se lassent et retombent toujours dans leur ancienne paresse, porteuse de jugement et de mort ; alors, en vérité, il n'y a plus rien à faire que les réveiller par les moyens les plus extrêmes, afin qu'ils se remettent à agir sur les voies de la lumière et de la vie.

11. C'est pourquoi Je vous le répète: dites aux hommes de se garder ayant tout de la paresse spirituelle ; car c'est la porte ouverte à tous les maux dont parle le prophète, et que Je dois permettre, hélas ! Songez-y, car nous en dirons encore quelques mots plus tard. - Mais pour l'heure, rentrons à l'auberge, car nous aurons encore beaucoup à faire cette nuit ! »

 

N. B.  Si nos mails ne sont pas de votre gré et vous voulez couper la réception de nos mails, il suffit de nous renseigner et votre adresse sera supprimé tout de suite, sans problèmes !  Mais pour ceux qui veulent approfondir la connaissance divine consultez  les sites internet : http://fr.groups.yahoo.com/group/SAGESSE-DIVINE    http://fr.groups.yahoo.com/group/Chemin_Interieur

 


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Joseph Russo

Un grand film basé sur le travail de Eckhart Tolle

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mardi 5 novembre 2013

En voulant aider cet être chers tu permets de t'aider toi-même et c'est ça L'Amour

Je repensais à ce que ton mari me disait hier, " choque toi pas " pourtant je n'étais pas fâché, alors je me rends compte que je me laisse emporter par cette passion que j'ai pour le coté spirituel de la vie quand j'en parle.

Il y a tellement d'années que j'étudie, je lis je médite, je contemple, je pratique et le vis, quand j'en parle je voudrais dire, transmettre tellement de choses en même temps et pourtant je ne peux transmettre la foi à quelqu'un, celle-ci doit-être désirée, c’est alors la main de Dieu qui t’apportera le pain quotidien, cette nourriture de l'Âme tant désirée et d'une façon adaptée à cet enfant de Lui.

C'est une expérience intérieure qui apporte la foi, non une expérience extérieure.

Je réalise que lorsque je raconte des évènements qui ont nourris ma foi il y a une forte réaction négative si la personne n’a pas  de vécu intérieur, ce qui tend à prouver que les expériences spirituelles sont personnelles et reste une vérité que pour soi-même et en fait comment pourrait-il en être autrement.

C'est une communication spirituelle avec notre Soi Supérieur notre Âme et pas celle du voisin....donc avec le total de ce que nous sommes, considérant le cumul des vécus, de l'expérience, de la somme de nos vies avec lesquelles nous communions.

Alors quoi de plus personnel, alors oui ma vérité n’est absolument pas celle du voisin puisque personne de tout les temps passés présents ou futurs n'aura vécu ma vie nos vies et donc n'auront jamais au grand jamais la même vérité pourtant réellement mienne.

C'est pourquoi tenter de donner un tant soi-peu de son expérience à quelqu'un qui ne l'a pas vécu n'est pas très utile même si c'est passionnant à expliquer à raconter, à moins qu'elle ne te le demande, ça c'est une toute autre affaire.

Encore la il faut demeurer sage et peser mesurer car la démesure peut nuire à l'évolution qui se doit d'être lente pour être saine pour le corps et l'esprit.
La connaissance rationnelle n'est rien, elle se doit d'être éprouvée avant de passer à la suite des apprentissages.

Alors admettre qu'un esprit anime son corps et que donc je n'ai pas qu'un corps à nourrir mais aussi un esprit et une Âme assoiffée et affamée d'énergies vitales qu'apporte l'énergie universelle contenu dans l'espace, oblige à être conscient de Soi de son environnement.
Le travail d'éveiller sa conscience demande des efforts constant une discipline que peu sont près à s’imposer et beaucoup de courage pour respecter ses convictions et que tous, une vie ou l'autre, feront, car c'est la clé de la fin du cycle des réincarnations et donc le retour à La Source, divines de béatitudes éternelles. 

Le cycle infini de l’évolution matérielle et immatérielle est lui aussi éternel.

La peur de l'inconnu de l'invisible est puissant, les medias populaires n’aidant en rien 
la connaissance.

Pourtant les ondes radio, les micro-ondes, l'électricité, l'attraction de la terre, le magnétisme, les atomes, les éléments comme l’air ne sont pas visibles mais existent bien et nous font vivre.

Mais si la science le dit on y croit, pourtant la science passe son temps à changer ses histoires et ce n'est pas fini. La terre était plate selon eux il n’y a pas si longtemps et quiconque disait autrement était qualifié d’hérétique et ridiculisé par les scientifiques.

Je suis contente de découvrir en toi une personne ouverte qui cherche à savoir et expérimenter et dans un but d’aider pas que toi mais aussi tes êtres chers.

Contente de te transmettre humblement ce que je peux et je réalise qu'en voulant aider cet être chers tu permets de t'aider toi-même et c'est ça L'Amour, le vrais sens de l'Amour, donner c'est recevoir, ça fait partis de la grandeur de ce qu'est l'Amour Divin et plus que parfait du créateur de toutes choses visibles et invisibles.

Namasté

Coeurdialement


Carole\Jacynthe

Mentir un jour mentir toujours



Lorsque que tu commences à mentir à un être cher, tu changes envers lui et envers toi.
Tu continueras à lui mentir et tu seras désormais sur tes gardes d’être pris.
Alors tu deviens plus froid et plus distant car la relation profonde est effritée et continuera à se détruire dans le temps car tu as trahis cette relation et plus rien ne compte ni t’arrêtera de mentir car tu en décidé ainsi.
Puisque tu n’as plus rien à perdre car c’est déjà perdu en décidant de lui mentir sans te reprendre 
tu as jeté cette relation.
Tu as jeté sur cette relation un voile noir, un désaccord permanent tant que tu ne décideras 
pas de parler franchement.
Et de plus qui saura qui tu es vraiment maintenant puisque tu cache tes vraies pensées
 tes vrais sentiments ta réalité ta vérité!
Tu deviens l’ombre de toi-même, masqué et défensif.
De plus la culpabilité que tu en ressens sans pouvoir la dévoiler te met sur la défensive face 
à cette personne ce qui laisse la porte grande ouverte à d’autres mensonges et manipulation pour obtenir 
ce que tu veux d’elle.
C’est ainsi que l’on dira que tu t’es trahis toi-même tu perds l’estime de toi au plus profond de ton être. 
Tu as abandonné ton authenticité par manque de courage à soumettre tes idées, 
à affirmer qui tu es et par manque de responsabilisation face à tes actions tes choix.
Oui la franchise a un prix, les gens ne sont pas toujours d’accord avec toi, argumenteront  
avec leur propres expériences, différentes mais aussi vraies et réels que les tiennes.
N’est ce pas la une richesse par des échanges ou l’on apprend des autres, l’échange des idées, 
la compréhension de l’autre, le respect de son vécu de ses sentiments de nos différences 
de nos différents connaissances.
Le partage d’idées mène à une richesse profonde à un respect mutuel indispensable 
pour des relations humaines saines.

Le mal que tu fais aux autres en croyant qu’il ne le saura pas c’est à toi-même que tu le fais…

Carole-Jacynthe

lundi 4 novembre 2013

Il n'est pas difficile de mener la vie qui conduit au Ciel



Nouvelles révélations du monde divin


Swed. – C.& E . 528 - 535

Il n'est pas aussi difficile

Qu'on le croit de mener la vie qui conduit au Ciel

Décrit par un prophète par les choses qu'il a vu et entendu dans le Ciel

 

1. Certaines personnes croient qu'il est difficile de mener la vie qui conduit au Ciel, vie appelée spirituelle. Elles croient  parce qu'elles ont entendu  dire que l'homme  doit renoncer au monde, se priver de ce que s'appelle les concupiscences du corps et de la chair, et qu'il doit vivre spirituellement. Par là elles comprennent qu'elles doivent rejeter les choses mondaines, qui sont principalement les richesses  et les honneurs, marcher  continuellement dans une pieuse méditation sur Dieu, sur la salut et la vie éternelle, et doivent passer leur vie dans la prière, dans la lecture de la Parole et des livres de piété. Elles pensent ainsi renoncer au monde et vivre par l'esprit et non pas par la chair. Mais il m'a été donné de savoir qu'il en est toute autrement par de nombreuses expériences  et par des entretiens avec des anges. J'ai aussi appris par eux que ceux  qui renoncent au monde et vivent en esprit de cette manière se préparent une vie triste qui ne pourra recevoir la joie céleste, car la vie de chacun lui reste. Pour que l'homme reçoive  la vie du Ciel, il faut qu'il vive tout à fait dans le monde, dans les emplois  et les affaires, et qu'alors il reçoive la vie spirituelle par la vie morale et civique. La vie spirituelle  ne peut être autrement formée chez l'homme, ou l'esprit de l'homme être préparé autrement pour le Ciel. Vivre la vie interne  sans une vie externe, c'est comme habiter dans une maison sans fondement qui peu à peu s'affaisse, ou se lézarde et se crevasse, ou chancelle jusqu'à ce qu'elle tombe.

2. Si la vie de l'homme est considérée et examinée par une intuition rationnelle, on découvre qu'elle est triple, à savoir spirituelle, morale et civique, et que ces vies sont distinctes. Certains hommes  vivent de la vie civique, sans  la vie morale et sans la vie spirituelle ; d'autres  vivent  de la vie morale sans la vie spirituelle. D'autres encore vivent de la vie civique et de la vie moral, et en même temps de la vie spirituelle ; ceux-ci mènent la vie du Ciel, et les autres,  la vie du monde  séparée de celle du Ciel. On peut ainsi voir que la vie spirituelle n'est pas séparée de la vie naturelle ou de la vie du monde, mais quelle y est conjointe comme l'âme avec son corps. Si elle était séparée serait comme habiter dans une maison qui n'aurait pas de fondement, e effet, la vie morale et civique est la vie spirituelle en action, car bien vouloir appartient à la vie spirituelle et bien faire, à la vie morale et civique. S'ils sont séparés, la vie spirituelle ne se trouve que dans la pensée et le langage, et la volonté se retire, parce qu'elle n'a pas de soutien. Cependant la volonté est le spirituel même de l'homme.

3. On peux voir par ce qui va suivre qu'il n'est pas aussi difficile qu'on le croit de mener la vie qui conduit au Ciel. Quel est l'homme  qui ne peut mener une vie civique et morale ? Chacun dès l'enfance y est initié et la connaît d'après  la vie dans le monde. Chacun, le méchant comme le bon mène cette vie, car  il veut passer pour sincère et juste. Presque tous pratiquent ces vertus dans les externes, comme s'ils agissaient d'après la sincérité même et la justice même. L'homme spirituel doit vivre de la même manière, il peut le faire aussi facilement que l'homme naturel, mais avec la différence que l'homme spirituel croit au Divin. Il agit sincèrement et justement, non pour la seule raison que cela est conforme aux lois civiques et morales, mais aussi parce que cela est conforme aux lois divines. Cet homme, parce qu'il pense aux choses Divines lorsqu'il agit, communique avec les anges du Ciel. Dans la mesure où il le fait, il leur est conjoint et ouvre son homme interne qui, considéré en lui-même, est l'homme spirituelle. Quand l'homme est dans cet état, il est adopté  et conduit  par le Seigneur, sans qu'il le sache. Alors ce qu'il fait de sincère et de juste, appartenant à a vie morale et civique, il le fat d'après une origine spirituelle. Faire d'après  une origine spirituelle  ce qui est sincère  et juste, c'est le faire d'après le sincère même et d'après  le juste même, ou  le faire de cœur. Sa justice et sa sincérité apparaissent dans la forme externe  absolument semblable à celle des hommes naturels, et même celles des méchants et des infernaux, mais dans la forme interne elles sont tout à fait dissemblable. En effet, les méchants n'agissent justement et sincèrement  qu'en en vue d'eux-mêmes et du monde. S'ils ne craignaient les lois et les peines, et aussi la perte de la réputation, de l'honneur, du lucre et de la vie, ils  agiraient absolument sans sincérité  et sans justice, puisqu'ils ne craignent ni Dieu ni aucune loi-divine. Aucun lien interne ne les retenant, ils tromperaient, pilleraient et dépouilleraient les autres  par plaisir et autant qu'ils le pourraient. Qu'ils soient  d'un tel caractère intérieurement, on le voit surtout  d'après leurs semblables dans l'autre vie, dont les externes ont été ôtés et les internes ouverts  afin qu'ils y vivent pour l'éternité. Comme alors ils n'ont  plus les liens externes, ils agissent en insensés et se moquent de la sincérité et de la justice. Ceux , au contraire  qui ont agi sincèrement  et justement à cause des lois divines , agissent sagement quand les externes leur sont ôté et qu'ils sont livré à leurs internes, par ce qu'ils ont été conjoint aux anges du Ciel, par lesquels leurs est communiquée la sagesse. D'après  ce qui vient d'être dit, on peut voir que l'homme spirituel peut agir absolument de la même manière que l'homme naturel dans la vie civique et morale, pourvu que son homme interne, ou sa volonté et sa pensée, ait été conjoint au Divin.

4. Les lois de la vie spirituelle, de la vie civique et de la vie morale sont enseignées aussi dans les dix préceptes du Décalogue. Les trois premiers préceptes contiennent  les lois de la vie spirituelle, les quatre suivant les lois  de la vie civique et le trois derniers de la vie morale. L'homme purement naturel vit dans la forme externe selon ces mêmes préceptes, comme l'homme spirituel. Il rend de la même façon un culte au Divin, il entre dans un temple, écoute des prédications, compose un visage selon la dévotion. Il ne tue pas, ne commet pas d'adultère, ne vole pas, ne prononce pas de faux témoignages, ne fruste pas se compagnons de leurs bien. Il n'agit ainsi que pour lui-même  et pour le monde, afin de se montrer. Cet homme, dans la forme interne, est out l'opposé de ce qu'il apparaît dans la forme externe, parce que de cœur il nie le Divin. Dans le culte il agit en hypocrite, et en lui-même, il rit des choses saint qu'à contrôler les gens simple. Il en résulte qu'il est absolument séparé du Ciel. Comme il n'est pas un homme spirituel, il n'est pas non plus un homme moral ni un homme civique, car, bien qu'il ne tue pas, il est néanmoins animé de haine contre quiconque s'oppose à lui, et brûle d'un désir de vengeance, S'il n'était retenu par des lois civique, et par des liens externes qui sont les craintes, il tuerait, et puisqu'il le désir, il s'ensuit qu'il tue continuellement. Quoiqu'il ne commette pas  d'adultère, cependant parce qu'il les croit licite, il est perpétuellement adultère, car toutes les fois qu'il en trouve l'occasion il commet  l'adultère. Ce même homme ne vole pas, cependant, parce qu'il désire les biens des autres et pense que les fraudes et les ruses malhonnête ne sont pas opposé à l'observation des lois, il vole continuellement en intention. Il en est de même pour les préceptes de la vie morale, qui consistent à ne pas porter de faux témoignages et à ne pas convoiter les biens d'autrui. Ainsi est tout homme qui nie le Divin, et qui n'a pas une conscience provenant d'une religion. On voit clairement qu'elle est la qualité de ces hommes, d'après leurs semblables dans l'autre vie ; quand ceux-ci sont mis dans leurs internes après que les externes leur ont été ôtés, alors, parce qu'ils fon un avec l'enfer et sont associés à ceux qui y sont. Il en est autrement de ceux qui ont reconnu le Divin, et qui dans les actes de leur vie, ont considéré les lois Divines et on agi selon les trois premiers préceptes du Décalogue et selon les autres préceptes. Quand ils sont mis dans leurs internes après que les externes ont été ôtés, ils sont plus sages que dans le monde. Lorsqu'ils viennent dans leurs internes, c'est comme s'ils passaient de l'ombre dans la lumière, de l'ignorance dans la sagesse, et d'une vie triste dans une vie bienheureuse, parce qu'ils sont dans le Divin, ainsi dans le Ciel. Ces choses ont été dites afin qu'on connaisse la différence entre l'homme naturel et l'homme spirituel, bien que tous  deux aient mené une vie externe semblable.

5. Chacun peut savoir  que les pensées sont portées et dirigées selon les intentions, ou vers le but que l'homme se propose. En effet, la pensée est la vue interne de l'homme, et il en est dette vue de la vue externe, elle se tourne et s'arrêt là où elle est dirigé et fixé par l'intention.

Si donc la vue interne ou la pensée se tourne vers le monde et s'y arrêt, il s'ensuit que la pensée devient mondaine. Si elle se tourne vers soi et vers l'honneur rapporté à soi, elle devient corporelle, mais si elle tourne vers le Ciel, elle devient céleste et par conséquent elle s'élève. Si elle se tourne vers soi, elle se détourne du Ciel et se plonge dans le corporel, et si elle se tourne vers le monde, elle s'éloigne du Ciel et se répand sur les choses qui sont devant les yeux. C'est l'amour de l'homme qui fait son intention et qui détermine sa vue interne ou sa pensée  vers les objets  de son amour. Ainsi l'amour de soi la dirige vers soi et ce qui est à soi; l'amour du monde vers les choses mondaines, et l'amour du Ciel, vers les choses célestes. Par là, quand on connaît son amour, on peut connaître l'état des intérieurs de l'homme qui appartiennent à son mental. Ainsi pour celui qui aime le Ciel, les intérieurs ont été  élevé vers le Ciel et ouverts par le haut, pour celui qui aime le monde et qui s'aime lui-même, les intérieurs ont été fermés par le haut et ouverts à l'extérieur. On peut donc conclure que les supérieurs qui appartiennent au mental ont été fermés par le haut, l'homme ne peut plus voir les objets qui appartiennent au Ciel et l'Eglise. Ces objets sont chez lui dans l'obscurité, et les choses qui sont dans l'obscurité sont niées ou ne sont pas comprises. Il s'ensuit que ceux  s'aiment eux-mêmes et aiment le monde par-dessus toutes choses, nient dans leur cœur les Divins Vrais, parce que chez eux les supérieurs du mental ont été fermés. S'ils en parlent de mémoire, ils ne les comprennent pas et ne les considèrent pas plus que les choses mondaines et corporelles. Par conséquent, ils ne peuvent occuper leur esprit que des choses qui entrent par les sens du corps, et qui seules font leurs délices. Parmi ces choses, beaucoup sont impures, obscène, profanes et criminelles, et ne peuvent être détournées, parce qu'ils ne reçoivent pas l'influx du Ciel dans leurs intellects, puisque ceux-ci , ainsi qu'il a été dit, ont été fermé par le haut. L'intention de l'homme, d'après laquelle se fixe sa vue interne ou sa pensée, est sa volonté, car ce que l'homme veut, il y tend, et ce à quoi il tend, il le pense. Si donc il dirige son intention vers le Ciel, là  se fixe sa pensée et avec elle tout son mental qui est ainsi dans le Ciel. Il regarde ensuite au-dessous de lui ce qui appartient au monde, comme celui qui regarde du haut du toit d'une maison. Ainsi l'homme dont les intérieurs appartenant à son mental ont été ouverts, peut voir le maux et les faux qui sont chez lui, car ils sont au-dessus du mental spirituel. Mais l'homme dont les intérieurs n'ont pas été ouverts ne peux voir ses maux ni ses faux, parce qu'il est non au-dessus d'eux. On peut donc comprendre d'où provient la sagesse ou la folie de l'homme et ce qu'il deviendra après la mort lorsqu'il deviendra après la mort lorsqu'il devra vouloir, penser, agir et parler selon ses intérieurs. Ces explications ont été données afin qu'on sache comment deux hommes apparemment semblables extérieurement, ne le sont pas intérieurement.

6. Il devient maintenant évident qu'il n'est pas aussi difficile qu'on le croit de mener la vie du Ciel, il suffit à l'homme, lorsque son esprit est porté sur quelque chose qui se présente à lui et qui lui semble non sincère et injuste, de penser que cela ne doit être fait, parce que contraire  aux préceptes Divins. Si l'homme s'accoutume à penser ainsi, et qu'il en contracte, peu à peu il est conjoint au Ciel. Dans la mesure où il est conjoint  au Ciel, les supérieurs qui appartiennent à son esprit s'ouvrent et il voit en quoi consiste le non-sincère et l'injuste. Autant il voit  de tels maux, autant ceux-ci peuvent être dissipés, car un mal ne peut l'être que lorsqu'il est vu. L'homme peut entrer dans cet état d'après la liberté puisqu'il peut librement penser ainsi. Or quand l'homme a commencé cet état, le Seigneur active alors  tous les biens en lui, fait qu'il voit les maux, ne les veut pas et enfin les a en aversion. C'est ce  qui entendu par ces parole du Seigneur : Mon joug est aisé, et mon fardeau léger. ( Matt. XI, 30 ) On doit toute fois savoir que la difficulté de penser ainsi et de résister aux maux s'accroît dans la mesure où l'homme fait les maux d'après  sa volonté. Il s'y habitue tellement qu'il ne le voit  pas et enfin les aime. D'après le plaisir de son amour il les excuse, le confirme par des illusions de tout genre, et dit qu'ils sont permis et que ce sont des biens. Cela  arrive à ceux qui dans l'adolescence, se précipitent sans retenue dans les maux, et en même temps rejettent  de cœur les choses divines.

7. Un jour me fut représenté un chemin  qui conduit au Ciel et à l'enfer. Il était large, tendant à gauche ou vers septentrion et un grand nombre d'esprits le suivaient. A une certaine distance, à l'endroit où ce large chemin se terminait, se trouvait une pierre assez grande. De cette pierre partaient deux chemins, l'un vers la gauche et l'autre vers la droite. Celui de gauche était resserré ou droit, et conduisait par l'occident au midi, ainsi dans la lumière du Ciel. Celui de droite était large et spacieux et conduisait obliquement en as vers l'enfer. Je vis tous ces esprits qui marchaient se séparer à la bifurcation marqué par la grande pierre. Les bons tournaient à gauche et entraient dans le chemin étroit qui conduisait au Ciel. Mais les méchants ne voyaient pas la pierre, tombaient dessus et se blessaient. Après s'être relevés, ils couraient dans le chemin large qui allait vers l'enfer. Ensuite il me fut expliqué ce que cela signifiait : Le premier et large chemin  et le grand nombre d'esprit, tant bons que méchants, qui marchaient ensemble et conversaient  entre eux comme des ais, représentaient ceux qui dans les externes vivent de la même façon, sincèrement et justement, sans aucune différence apparente. La pierre de la bifurcation ou de l'angle, sur la quelle tombaient les méchants qui couraient ensuite dans le chemin conduisant à l'enfer, représentait le Divin Vrai, qui est nié par ceux qui regardent vers l'enfer. Cette même pierre, dans le sens suprême, signifie le Divin Humain du Seigneur. Au contraire, ceux qui reconnaissaient le Divin Vrai, et en même temps  le Divin du Seigneur, entraient dans le chemin  qui conduisait au Ciel. Par là j'ai pu voir de nouveau que des méchants comme des bons  mènent une vie semblable dans les externes  ou suivent un même chemin, par conséquent les uns aussi  facilement que les autres. Cependant ceux reconnaissent de cœur le Divin, principalement ceux  qui, au-dedans de l'Eglise reconnaissent le Divin du Seigneur, sont conduits vers le Ciel. Ceux qui ne le reconnaissent pas sont porté vers l'enfer. Les pensées de l'homme, qui procèdent de l'intention ou de la volonté, représentées dans l'autre vie par des chemins. Il y apparaît des chemins absolument conformes aux pensées de l'intention, chacun aussi y marche selon les pensées qui procèdent de son intention. Il s'ensuit qu'on reconnaît les esprits des leurs pensées par les chemins qu'ils empruntent. Je vis aussi clairement ce qui est entendu par ces paroles du Seigneur : « Entrez par la porte étroit. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là, mais étroite est la porte resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a eu peu qui les trouvent. (Matth. VII : 3,4) – Le chemin qui conduit à la vie et resserré, parce qu'il y en a peu qui le trouvent, ainsi qu'il a été dit, mais il n'est pas difficile. Cette pierre qui se trouvait à l'angle  où se terminait le chemin large et commun, et d'où partaient les deux chemins  se dirigeant vers des régions opposé, illustre clairement ces paroles du Seigneur : Que signifie donc  ce qui est écrit : La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle, Quiconque tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé (Luc XX : 17, 18). – La pierre signifie le Divin Vrai, et a Pierre d'Israël, le Seigneur quant au Divin Humain. Ceux qui bâtissaient sont ceux qui étaient de l'Eglise. La principale de l'angle est le commencement des deux chemin ; tomber et être brisé, c'est nier et périr.

8. Il m'a  été donné de converser dans l'autre vie avec des personnes qui, sur terre, s'étaient éloignés des affaires du monde afin de vivre pieusement et saintement. Jai aussi parlé avec d'autres qui s'étaient infligées divers châtiments, parce qu'elles avaient cru ainsi renoncer au monde et dompter les concupiscences de la chaire. Mais la plupart d'entre elles, ayant  par là contracté une vie triste, et s'étant éloigné de la vie de la charité, vie qui ne peut s'épanouir que dans le monde, ne peut être associées aux anges, car la vie des anges est gaie par béatitude, et consiste à faire des bonnes actions qui sont les œuvres de la charité. De plus, celle qui ont passé leur vie en dehors des choses du monde, nourrissent une idée de mérite et par suite désirent continuellement le Ciel et pensent à la joie céleste comme à une récompense, ignorant absolument en quoi consiste la joie céleste. Quand ces personnes sont introduites parmi les anges  et dans la joie angélique, elles s'étonnent comme des gens qui voient des choses totalement étrangères à leur fois, car  la joie angélique rejette le mérite et comprend l'exécution des exercices et des devoir, et la béatitude provenant du bienfait par l'accomplissement de ces devoirs. Comme elles n'ont pas  la faculté de recevoir cette joie, elles se retirent et s'associent avec celles qui dans le monde, ont mené une vie semblable. Les personnes qui ont vécu saintement dans les externes, toujours en prières dans les temples, qui ont affligé leurs âmes et ont pensé continuellement qu'elle seraient ainsi plus estimé et plus honorées que les autres  et enfin considérées comme saints après leur mort, ne sont pas dans le Ciel dans l'autre vie, parce quelles ont agi pour elles-mêmes. Elles ont souillé les Divins Vraie en les plongeant dans l'amour de soi, et certaines sont ainsi devenues insensées au point de se croire des dieux, elles sont donc dans l'enfer avec leur semblable. D'autres sont dans les enfers des fourbes, parce que dans la forme externe elles ont agi avec artifice et ruse et ont induit les simples à croire qu'elles possédaient une sainteté Divine. Tels sont plusieurs de saint de la religion Catholique Romaine. Il m'a été permis de leur parler et de voir clairement la vie qu'ils ont menée dans le monde et celle qu'ils ont eue ensuite. Ces choses ont été dites pour affirmer que la vie qui conduit au Ciel est une vie dans le monde, mais non détaché du monde. Une vie de piété sans la vie de charité, qui ne peut s'exercer que dans le monde, ne conduit pas au Ciel. On y est conduit par une vie de charité, qui consiste à agir sincèrement et justement dans toute fonction, toute affaire et tout emploi, d'après un motif intérieur, ainsi d'après une origine céleste. Cette origine donne la qualité à cette vie quand l'homme agit sincèrement et justement parce que cela est conforme aux lois Divines Cette vie  n'est pas difficile, mais la vie de piété séparé de la vie de charité est difficile, elle détourne la mesure où l'on croit qu'elle y conduit. Une vie de piété sans la vie de la charité n'a aucun valeur, mais avec elle, elle conduit à tout. La charité à l'égard du prochain s'étend à tout ce que l'homme pense, veut et fait en général et en particulier. Si faire du bien n'a pas été conjoint avec le vouloir le bien et penser le bien, il n'y a point de salut, ni de conjonction de l'homme interne avec l'homme externe.

 


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ou italien: http://it.groups.yahoo.com/group/Biblioteca_Divina

 


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Joseph Russo

samedi 2 novembre 2013

Sept sentiers qui conduisent à la plénitude intérieure…




Le Phare du Sommet - Enseignement d'avril 2013 L'éducation
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Enseignement de novembre 2013
Sept sentiers qui conduisent à la plénitude intérieure…

1er rayon :
El MoryaLe maître ascensionné El Morya est le Chohan du premier rayon, le rayon bleu de la volonté de Dieu. Sa retraite se trouve à Darjeeling, en Inde ; c'est là qu'il reçoit les disciples de la volonté de Dieu. Les âmes font le voyage jusqu'à cette retraite, la nuit, pendant que le corps est au repos. L'âme dans son enveloppe éthérique, quitte le corps et participe à ces classes cosmiques.

2e rayon :
LantoLe deuxième rayon est le rayon de ceux qui enseignent, comprennent et connaissent l'action éclairée de la sagesse de Dieu ainsi que la sagesse de sa loi. . De nombreux serviteurs de la sagesse de Dieu ont enseigné à l'humanité à travers les époques. Le Seigneur Lanto accomplit son service à partir de la Retraite du Royal Teton, près de Jackson Hole, au Wyoming, qui est près de la chaîne de montagnes du Grand Teton. Ce sont des âmes paisibles comme Saint François d'Assise, devenu le Maître ascensionné Kuthumi. Le bien-aimé Kuthumi a occupé le poste de Chohan de ce rayon jusqu'en janvier 1956 ; depuis il occupe le poste d'Enseignant planétaire.

3e rayon :
Paul le VenitienLe Seigneur du troisième rayon est Paul le Vénitien, qui était incarné en tant que Paul Véronèse, le grand peintre italien. L'art, la sculpture et toutes les formes d'expression de soi sont enseignées par ce maître alors qu'il reçoit ses disciples dans sa retraite, au Château de Liberté dans le sud de la France.


4e rayon :

Serapis BeyLe quatrième rayon exalte la pureté et la discipline de Dieu. C'est le rayon blanc. Les disciples de ce rayon travaillent sous la tutelle du Chohan Sérapis Bey dont la retraite se trouve au Temple de l'Ascension à Louxor, en Égypte. C'est la voie de ceux qui communient à la totalité de la conscience de la Mère Divine par la pureté du corps, de l'esprit et de l'âme. La couleur blanche, bien sûr, englobe tous les rayons ; la maîtrise de chacun des sept rayons nous guide ultimement vers ce portail et vers l'ascension, la libération éternelle de l'âme.

5e rayon :
HilarionLe Chohan de ce rayon est Hilarion qui était incarné en tant que l'apôtre Paul. Sa retraite se trouve dans le Temple de Vérité dans le plan éthérique au-dessus de l'île de Crête. Sur ce rayon, les hommes de science, les médecins, les guérisseurs, les mathématiciens et les musiciens acquièrent une maîtrise scientifique du moi et des plans de l'Esprit et de la matière. Ils procèdent ainsi par une quête de la vérité dans chaque discipline incluant les arts de la guérison. Le cinquième rayon devient donc le moyen par lequel ceux qui exigent la logique du Logos peuvent trouver le chemin du retour vers la conscience du Christ, retournant ainsi au grand dessein de Dieu.

6e rayon :
NadaLe Maître Jésus a porté le manteau de Chohan de ce rayon pendant deux mille ans. Depuis la fin de ce cycle, Jésus occupe la fonction d'Enseignant planétaire et la bien- aimée Nada lui a succédé à titre de Seigneur du sixième rayon. Le sixième rayon vibre à la fréquence du spectre de couleur pourpre et or – le pourpre et or en tant que flammes jumelles christiques sur ce rayon. C'est la voie de ceux qui servent les évolutions de la terre avec l'énergie de paix comme conseillers et consolateurs dans tous les milieux de vie. Leur engagement intérieur est : « Je suis le gardien de mon frère ». Et la devise de leur âme est : « Celui qui voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui voudra être le premier d'entre vous, sera votre esclave » (Mt 20, 26-27).

7e rayon :
Saint-GermainSaint-Germain est le Chohan du septième rayon, le Maître alchimiste, le scientifique qui parraine les inventions, les innovations, le grand génie et la maîtrise du plan de la Matière par la technologie. Il enseigne également la loi du désintéressement et du non attachement afin que la science ne devienne pas un matérialisme inerte mais devienne plutôt une matérialisation de la Flamme de Dieu par laquelle nous réalisons dans la matière la plénitude du Dieu vivant.

Inner Perspectives
Elizabeth Clare Prophet
The Summit Lighthouse Library

Suggestions de lecture complémentaire :

Le disciple et le Sentier, Elizabeth Clare Prophet, Éd. Lumière d'El Morya
Les maîtres des sept rayons, Elizabeth Clare Prophet, Éd. Lumière d'El Morya

Visitez notre site Web : www.lepharedusommet.org

 
 

Sil-te-plaît, pardonne moi

L'effet de vos pensées, de vos paroles

Méditation guidée

Vibration de Saint Germain Le beau Danube bleu

https://www.youtube.com/watch?v=_CTYymbbEL4

Vibration du Maître ascensionné Saint Germain La valse de l empereur