Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi

Jésus a dit "Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi, pas dans des palais de bois ou de pierre"



Jésus dit "Fend le bois je suis là; soulève la pierre et tu m'y trouveras!"




lundi 19 mars 2012

Mémoires cellulaires et sur identification S. Leclerc 17.3.12




 

Mémoires cellulaires et sur identification 
S. Leclerc17.3.12
 
 
Salutations à vous, chers enfants de la Terre.

Nous sommes ravis de nous présenter de nouveau à vos côtés et d'apporter un autre volet à nos enseignements sur le sens de la vie d'un Être incarné en processus d'éveil (ou du réveil).

Votre corps physique est une représentation holographique de l'Univers. Tout ce qui a le potentiel de s'inscrire dans l'Univers a aussi le potentiel de s'inscrire dans votre corps physique. Toute expérience vécue dans l'Univers permet à «la somme de Tout ce qui est» d'évoluer, à l'image d'un immense corps céleste qui croît au rythme de chacune de ses particules.

L'Univers ne connaît pas le jugement. Tout ce qu'il emmagasine est accepté comme une expérience qui fait évoluer l'ensemble. Mais dans la dimension incarnée, la situation est vécue différemment, car la conscience humaine évalue les expériences vécues dans une vision dualiste, selon des références de bien et de mal. Ce qui est «bien» est accepté par la conscience, et ce qui est «mal» est rejeté. C'est dans ce contexte que le corps physique agit comme un entreposeur de données, une sorte d'arrière-boutique qui «stocke» les expériences rejetées par la conscience en attendant qu'elle vienne les récupérer. Vous nommez cela des mémoires cellulaires.

Les données emmagasinées
En fait, ces mémoires sont des données emmagasinées dans les cellules de votre corps physique. Le but de ce «stockage» est d'entreposer les expériences vécues jusqu'à ce que la conscience les accepte comme faisant partie de l'aventure humaine. À ce moment, les mémoires viennent construire le champ aurique global de l'Être, au lieu de s'accrocher aux cellules et de les alourdir. L'expérience vécue sert alors l'évolution de l'Âme, parce qu'elle est acceptée. À l'inverse, les «données» non récupérées restent stockées dans le corps physique et agissent sur l'Être comme des poids qu'ils portent.

L'évolution dans l'incarnation implique qu'un jour ou l'autre, tout Être humain devienne conscient de ce qu'il est, conscient de ce qu'il porte comme vécu et comme expériences. Mais plus un Être résiste à ces prises de conscience - toujours parce qu'il aura jugé certaines expériences vécues dans le passé - plus il aura de la difficulté à s'alléger. Car inconsciemment, l'Être créera des situations qui éveilleront extérieurement les mémoires qu'il porte intérieurement. Si l'Être accepte de les regarder et de les accueillir, il allègera sa vie. Mais s'il résiste et entretient une forme de déni, il aura l'impression que la vie s'acharne sur lui, alors qu'en vérité, il est accompagné à se dégager des poids qu'il transporte depuis un long moment.

Chaque Être humain porte en lui un Univers tout entier. Tous les Êtres que vous rencontrez vous présentent leur propre Univers avec lequel vous êtes en relation. Ce sont des Univers complets qui s'offrent les uns aux autres. Ces Univers sont composés d'éléments conscients et inconscients qui s'influencent mutuellement pour permettre à chaque Être d'acquérir davantage de sagesse. Et l'Être évolue en fonction de ce qu'il acceptera d'accueillir en lui comme expérience.

Les sensations ressenties
Lorsque vous ressentez la peur dans le corps physique, il est important de comprendre d'abord que ce n'est pas votre essence qui la ressent. En d'autres termes, vous n'êtes pas cette peur, ce sont vos mémoires qui s'expriment. Les mémoires sont importantes, certes, et nous ne sommes pas à les banaliser. Seulement, vous n'êtes pas vos mémoires. Elles habitent en vous, mais elles ne sont pas vous. D'entrée de jeu, voilà une invitation à poser un double regard sur vous, afin de relativiser les sensations ressenties dans l'incarnation. Car la peur est probablement l'émotion qui crée le plus de freins chez les Êtres humains. Souvent, vous êtes si identifiés à elle que vous finissez par vous imaginer que tant que vous aurez peur, vous ne pourrez plus avancer. Voilà que la peur vient occuper tout l'espace. Vous n'êtes pas votre peur et vous n'êtes pas vos mémoires. Vous cohabitez avec elles.

Lorsque vous êtes trop identifié aux mémoires, vos gestes deviennent teintés par celles-ci. Mais en vérité, il y a des gestes qui sont inspirés par l'Âme, et il y a les mémoires. Ces éléments sont différents. Mais les mémoires qui ne sont pas comprises comme tel vont souvent influencer l'Être à poser des gestes réactifs pour se protéger et se refermer. Ces gestes seront posés en fonction des mémoires. L'Être voudra alors compenser la présence des mémoires en réagissant aux éléments qui les auront réveillées. Voilà qu'il y aura réaction, et non pulsion ou attraction. Cette réaction n'est pas porteuse de vie, car elle est stimulée par une émotion qui est générée par une mémoire cellulaire. Et c'est là que l'Être est invité à rencontrer sa mémoire, tout en comprenant qu'il n'est pas sa mémoire.

Avec ou sans vous
Il est fondamental que vous vous dissociiez des mémoires en vous, non pas pour les banaliser, mais pour comprendre qu'elles existent avec ou sans vous. Elles sont autonomes pour ainsi dire. Elles cherchent votre lumière certes, un peu comme des adolescents qui veulent être libres, mais qui ont besoin d'encadrement. Les mémoires sont comme des adolescents. Elles sont autonomes, et en même temps, elles cherchent à être encadrées par l'Être d'amour que vous êtes. Et l'Être d'amour comprend qu'il doit laisser ces mémoires s'exprimer, tout comme vous permettez à un adolescent d'être un adolescent. Vous ne jugez pas ses maladresses ou ses écarts de conduite, mais vous balisez son chemin. Vous comprenez que ses écarts sont temporaires. Ils lui permettent de se définir et de comprendre ses limites. Et voilà qu'à un moment, il devient mature.

Et voilà qu'à un moment, les mémoires redeviennent lumière. Elles ne vont pas s'évacuer, mais elles n'auront plus d'impact, elles seront recadrées pour ainsi dire. Vos mémoires ne sont pas vous, même si dans l'incarnation, elles sont un aspect de vous.

Prolongement des corps subtils
Lorsque nous disons «qu'elles ne sont pas vous, mais un aspect de vous», nous ne sommes pas à jouer sur les mots. Nous soulignons le fait qu'elles existent, tout comme votre main existe comme une partie de vous. Mais elle a son propre système nerveux, ses éléments de sensibilité, et en même temps, vous n'êtes pas votre main. Votre main est un prolongement des corps subtils et des corps énergétiques, qui ultimement sont un prolongement de l'Être véritable que vous êtes. Vous êtes donc représenté physiquement par un enchevêtrement de «prolongements de vous-même». Mais de prendre ces éléments et d'en faire votre essence est une incompréhension de l'Être véritable que vous êtes.

Il y a donc un intérêt à mettre en perspective différents éléments de votre vie, non pas pour les banaliser, mais pour comprendre que même s'ils vous influencent, vous n'êtes pas cela. Vous l'êtes dans l'incarnation et vous ne pouvez vous en dissocier de façon nonchalante. Mais apprendre à vous désidentifier de cela est un processus qui vous conduit directement vers la maîtrise.

Être davantage humain
Une invitation à ce qu'il y ait moins d'identification à la dimension humaine vous amène à être encore plus humain. Vous nous direz qu'il y a un paradoxe ici, mais pour nous, ce n'en est pas un. Car pourquoi est-ce que les humains sont si affectés par les ombres? C'est d'abord parce qu'ils portent beaucoup de dénis, car ils craignent d'être envahis par elles. Donc les ombres qu'ils ne veulent pas observer les affectent encore plus intensément, parce qu'elles sont niées [voir Le double déni -
http://www.psychologiedelame.com/message-17-10-11.html]. En parallèle, ce qui affecte tout autant les humains est que lorsqu'ils finissent par accepter d'observer leurs ombres, ils sont si identifiés à elles qu'ils ont l'impression maintenant qu'ils sont démasqués, qu'ils ne sont «qu'une ombre sur deux pattes». Cela crée beaucoup de lourdeur chez les humains. Et alors, un humain plus lourd ne peut véritablement remplir son rôle d'humain.

Un humain est un Être qui vit des émotions, des expériences et qui apprend de son vécu. Un Être blessé qui continu de revivre ses blessures est toujours un humain, mais vous comprendrez qu'il est un humain qui ne vit pas l'expérience d'être un humain. Il est un humain qui revit ses blessures de façon récurrente, il les répète et les répète. Certains humains passent 10 ou 15 années, 15 vies à répéter des mémoires et des thématiques qu'ils n'arrivent pas à dégager de leur énergie. Soit ils ne veulent pas les contempler, ou soit ils se sentent coupables de les avoir vécues. Donc plus un Être apprend à se désidentifier de son incarnation, plus il apprend à développer un regard amoureux sur ce qu'il est, et plus il apprend à être un humain équilibré.

L'identité véritable
Il est si fondamental que l'Être apprenne à reconnaître qu'il vibre à une dimension supérieure, tout en comprenant qu'il est aussi en processus d'expérimentation sur Terre. Il n'est pas un corps physique, il est une Âme-Esprit venue vivre un passage sur Terre. C'est cela la désidentification qui permet d'être encore plus humain, de vivre plus intensément sa vie humaine, sans pour autant «mordre» à chaque contraction. L'Être divin, beaucoup plus fluide, suit le courant de la vie sans résister, et apprend à redevenir l'Être de lumière qu'il est dans la dimension incarnée. Mais celle-ci n'est plus son identité, elle devient un véhicule qui transporte son duo Âme-Esprit aux quatre vents, sur Terre et dans les plans subtils.

Plus un Être habite son corps, vous l'aurez compris, plus son Esprit est libre. Plus un Être veut avoir un Esprit libre pour éviter d'habiter son corps, plus il est contracté et prisonnier de l'incarnation. C'est un concept simple et fort mal compris chez les Êtres humains.

Vos chaussures
Nous l'avons dit, votre corps physique se présente comme la partie visible de tout un ensemble de corps qui s'influencent mutuellement. Souvenez-vous que vous n'êtes pas votre corps physique, tout comme vous n'êtes pas vos chaussures. Vous entrez dans vos chaussures le matin et vous les retirez le soir. Vous en faites autant avec le corps physique. Vous le quittez le soir, et vous le pénétrez de nouveau le matin.

La conscience continue de vivre avec ou sans corps, cela n'a aucune importance. Seulement, puisque vous êtes incarné en ce moment, vous êtes invité à l'assumer totalement, à être en paix avec ce choix de votre Âme. Comprenez que maintenant que vous y êtes, l'invitation est d'aimer et de stimuler votre vie humaine à partir de votre lumière, et non d'utiliser votre vie pour évaluer votre lumière. Voilà une nuance fondamentale à intégrer, chers amis humains.

Souvenez-vous que votre Âme est identique aux Êtres que vous admirez. Ce qui vous stimule chez les autres existe nécessairement déjà en vous. La différence entre vous et eux est la quantité de vous-même que vous avez intégré dans votre corps physique. L'essence est la même, mais le parcours d'intégration est différent. Comprendre cela vous amène à comprendre que vous êtes souvent trop identifié à la dimension incarnée, ce qui vous amène à évaluer votre Être en fonction d'elle, alors que l'invitation est plutôt d'éclairer inconditionnellement votre vie humaine à partir de votre lumière.

Être spirituel
Beaucoup d'humains imaginent qu'un Être spirituel est un Être déconnecté de la réalité terrestre. Ils se disent que pour être humain, il faut se déconnecter de la spiritualité et que pour être spirituel, il faut se déconnecter de l'humain. En vérité, ces deux réalités ne sont jamais complètes si elles restent séparées. Concrètement, l'Être spirituel qui se sépare de l'humain dans l'incarnation n'est pas plus spirituel que l'Être humain qui se sépare de sa spiritualité. Ni un ni l'autre n'est en contact avec la vérité de son essence.

Être en contact avec soi et être spirituel ne sont pas synonymes, ce sont deux expériences distinctes. Être spirituel sur Terre est associé aux connaissances reliées à l'existence d'un monde parallèle, d'un monde invisible, et d'un lien qui existe entre ce monde et la dimension visible.

Maintenant, être un spiritualiste engagé et impliqué concrètement dans sa vie revient à faire en sorte que ce lien entre le visible et l'invisible soit une source de dynamisation pour l'Être incarné, un moyen de créer sa vie de façon épanouie et épanouissante pour les autres.

Pour nous, la véritable spiritualité est associée à l'Être qui est en mesure de faire des liens entre sa vie humaine et sa vie spirituelle, sans jamais les séparer: «voilà, maintenant je suis humain, et ce soir, lorsque je rentrerai à la maison, je redeviendrai spirituel, ou lorsque je serai en méditation, ou lorsque je serai avec cet Être qui me parle de spiritualité, etc.». Tout cela n'a pas à être séparé de l'humain.

Le rythme vibratoire
Vous aurez compris que nous parlons ici de différences au niveau du rythme vibratoire. Ce n'est pas l'état d'humain qui crée la séparation, mais la densité de son rythme vibratoire. Celle-ci rend les deux réalités incompatibles. Et il est juste d'observer que si un Être est contracté, dans la concurrence, la compétition, la comparaison, l'avarisme, l'envie d'accumuler, le manque, la peur du manque, la peur, tous ces éléments créent une densification de son rythme vibratoire. Et en densifiant ce rythme, l'Être a plus de difficulté à se connecter avec les mondes invisibles. Il aura alors l'impression que pour se connecter avec l'invisible, il doit se séparer de ce qui le rend lourd. Et c'est pour cela qu'il aura l'impression qu'il ne peut plus être humain s'il veut être spirituel. Mais en vérité, toute la spiritualité et toute la lumière des Univers n'ont pour but que d'éclairer la vie pour l'aider à évoluer, et non d'éveiller la comparaison.

Lorsqu'une pièce est dans la pénombre, elle ne se juge pas d'être dans la noirceur. Elle accueille la lumière lorsqu'elle se présente et voilà qu'alors, elle redevient lumière. L'ombre, c'est l'absence de lumière, et la lumière est associée à la conscience. Donc plus vous êtes conscient d'un élément, plus vous l'éclairez et plus il devient lumière. Plus il devient lumière, plus son rythme vibratoire s'élève, et plus vous le rapprochez du rythme de la connaissance pure, du rythme de ce qui est invisible. Ainsi, l'invisible devient visible.

La séparation
Tout ce parcours de souffrance débute par une sensation de séparation et une blessure reliée au fait de ne pas ressentir le soutien universel. Beaucoup d'Êtres se sentent seuls, largués pour ainsi dire sur cette planète isolée. C'est une mémoire intense qui est très présente chez les humains. Elle crée dans l'invisible une envie de fuir l'incarnation. Mais en tant qu'humain, vous pouvez accéder aux plans spirituels sans quitter la matière. Vous n'avez pas à «éteindre l'interrupteur» pour y arriver, vous pouvez au contraire choisir d'être encore plus humain. Car plus vous êtes humain, plus vos antennes se déploient.

En vérité, nous disons: «plus vous êtes un humain joyeux», car nous ne parlons pas d'un humain dans la souffrance et dans la lourdeur. Ces états ne sont pas porteurs de la légèreté requise pour augmenter votre rythme vibratoire. Mais il ne faut pas non plus nier la souffrance et la lourdeur ressentie pour se réfugier dans la joie. La joie n'est pas un refuge, c'est un état d'être. Plus elle se met en place de façon intense et sincère, plus la conscience s'élève, et plus vous vous souvenez que vous êtes un Être spirituel venu vivre une expérience terrestre.

Vous n'êtes pas un Être humain qui tente de devenir un Dieu, vous êtes un Dieu qui a choisi de réduire son rythme vibratoire pour pénétrer la matière. Une fois dans la matière, si vous avez oublié que vous étiez un Dieu, cela ne fait pas de vous un plus petit Dieu. Cela fait simplement de vous un Dieu qui a oublié. Mais l'oubli n'est pas un état permanent, c'est un état qui stimule l'envie de se réveiller.

L'énergie du Nouveau Monde
Si nous vous avons parlé des mémoires en ce jour, c'est parce que le rythme vibratoire associé à l'énergie du Nouveau Monde bouscule de plus en plus les cellules mémorielles de vos corps physiques pour les accompagner à libérer ce qu'elles ont emmagasiné dans l'incarnation. Plus vous accepterez ce processus, plus il sera facile de le traverser.

Plus vous entrerez dans l'énergie du Nouveau Monde, plus vous deviendrez conscient des ponts qui existent entre l'humain et le divin. Au fur et à mesure que vous intégrerez les concepts de la nouvelle énergie, la clarté sera de plus en plus au rendez-vous. L'évolution est un parcours, et non une destination. Appréciez chacune des étapes qui vous sont présentées. Mises ensemble, elles participent à créer l'Être d'amour et de lumière que vous êtes.

Nous vous remercions de votre présence amoureuse en ce jour. Nous vous saluons et allons maintenant compléter ce message.

Salutations à vous

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle

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Reçu le 17 mars 2012, par Simon Leclerc (
www.psychologiedelame.com)

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d'en conserver l'intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci



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jeudi 15 mars 2012

INREES | Fukushima, et après ?

Si vous ne visualisez pas ce message, rendez-vous sur cette page


INREES - Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires

A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d'âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l'accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d'après de nombreux témoins, hantée par les défunts... Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.



Les plantes sont capables de communiquer entre elles par leurs racines. De se prévenir en cas de danger, et d'aider leurs congénères à l'anticiper. C'est ce que démontre...
Démystifier la voyance peut nous permettre de mieux comprendre le fonctionnement de notre psychisme. Eclairage d'une voyante rationnelle.
Et revivez nos évènements en vidéo !


L'équipe INREES,

www.inrees.com


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dimanche 11 mars 2012

Un rendez vous qui changera ta vie

                                                       Du 21 au 25 Mars – Séminaire Essénien –


 Devenir libres et responsables



Pourquoi ce séminaire?

Pour ceux qui veulent vivre d'une autre façon dans ce monde dénué de sens.

Un séminaire animé par Olivier Manitara, représentant de la tradition essénienne.

 

Un égrégore de Lumière

Qu'on le veuille ou non, nous sommes tous reliés à des égrégores.

Pendant ces quatre jours nous baignerons dans des atmosphères particulières,

celles de l'Archange Raphaël, sous le signe du printemps.

 

Que t'apportera ce séminaire ?

Tu apprendras à contrôler les influences qui orientent ta vie,

à guérir et à transformer tout ce qui t'empoisonne et t'empêche d'être toi même.

Tu trouveras les clés pour que, tout comme la fleur, tu puisses fleurir, exaler le parfum qui est le tien.

La maîtrise sur ton corps - sur tes pensées - sur tes sentiments -

Une nouvelle façon de vivre, dans la joie et non dans la souffrance.

Une alliance avec un Ange si tu le désires.

 

Une spiritualité vivante

L'ignorance génère la peur, le doute, la connaissance éclairera ta vie.

Ne reste pas sur une idée fausse, imaginaire du monde divin,

entre sur le chemin des initiés, des mystères éternels qui sont tout simplement des lois à connaître

et à respecter, un art de vivre au quotidien, une spiritualité vivante.

 

Un karma lumineux

Ta participation t'apportera un karma positif, un capital de Lumière qui te suivra jusque dans ta prochaine incarnation.

Viens profiter de l'enseignement, sans aucune obligation de t'engager et sens toi libre,

participe uniquement à ce qui te convient.

 

Sois un pionnier

Nous sommes dans une époque charnière, particulièrement en 2012.

Plus nous sommes, plus nous dégageons une force pour influencer une nouvelle humanité sur la terre,

pour contrer les forces destructrices actuellement en action.

Notre terre est trop belle pour que nous la laissions être détruite par des gens ignorants.

C'est pourquoi ta présence est indispensable. Nous sommes chacun un morceau de puzzle

sur le grand échiquier, une note de musique sur une partition.

Alors tu es le bienvenu.

 

270€ pour une première participation : Activités + hébergement en gestion libre.

Ouvert à tous. Nous étions 260 au dernier séminaire.


Renseignements & Réservations :

Essenia Europe, +33(0)6 33 72 91 99 ou +33(0)6 12 55 91 82

Service inscriptions France

BP 31030, 12401 Saint Affrique Cedex

contact@essenia-europe.org


Visitez le site www.nation-essenienne.org

Veuillez me retirer de votre liste de diffusion







vendredi 9 mars 2012

Votre corps n'est pas une poubelle !!!



Votre corps n'est pas une poubelle !!!

Quand vous faites attention à ce que vous mangez, votre entourage ne tarde pas à vous regarder d'un œil mauvais. Très vite, vous êtes soupçonné d'être égocentrique, nombriliste, voire névrosé.
Cette réaction vient pour moi d'un vieux fond de morale religieuse mal comprise.
Les religions se méfient de la nourriture : pour se purifier, il faut diminuer, voire stopper sa consommation de nourriture et de boisson. C'est bien sûr particulièrement vrai pour les périodes de jeûne rituel (Carême, Ramadan, Yom Kippour), mais, en général, l'homme vertueux se privera si possible en permanence. Et plus il se privera, mieux ce sera.
On se souvient de Jean le Baptiste (un ascète juif qui s'était retiré dans le désert à l'époque du Christ) se nourrissant uniquement de miel et de sauterelles. De Saint-Jean-Marie Vianney (le « Curé d'Ars », au début du 19e Siècle), qui avait la réputation de ne manger que des pommes de terre pourries. Chez les bouddhistes chinois, les laïcs sont tenus d'assister aux assemblées de jeûne (zhai) six jours par mois. L'origine du zhai remonte aux plus anciens textes du bouddhisme chinois (1er siècle avant Jésus-Christ) où il est dit que le prince Ying de Chu, qui était réputé pour sa connaissances des règlements du jeûne bouddhique, faisait chaque année un jeûne de trois mois. C'est deux fois plus que les 40 jours passés par le Christ au désert !

Du jeûne à la malbouffe

Il n'en fallait pas plus pour que se répande dans les populations l'idée que manger était mal, et que mal manger était... bien !
La bonne éducation bourgeoise consiste à ne jamais faire de remarque sur la nourriture (y compris en bien). Le meilleur moyen d'y arriver est de ne pas faire attention à ce qu'on a dans son assiette. Être attentif à ce qu'on mange est devenu un penchant vulgaire à combattre au même titre que l'avarice, la jalousie, le mensonge, etc.
C'est ainsi que la malbouffe a pu se répandre dans toutes les couches de la population, y compris celles qui n'ont aucune excuse financière.
Purée mousseline jambon, coquillettes au ketchup, escalopes « cordon-bleu » sous cellophane et nouilles au beurre sont les menus de base des enfants de familles françaises, qui auraient pourtant parfaitement de quoi acheter poireaux, carottes, céleri, choux et autres légumes pour varier.
En Belgique, où les cantines scolaires sont rares, et où les enfants mangent à midi les « tartines » qui leur ont été préparées par leurs parents, une majorité se nourrit de pain de mie blanc au Nutella, quand ce ne sont pas carrément de simples bonbons qui sont directement jetés dans leur boîte à tartines, souvent accompagnés d'un paquet de chips (mes enfants sont dans une école de Bruxelles et je peux témoigner donc personnellement de ce phénomène affligeant).
Moyennant quoi, beaucoup de parents ont bonne conscience car ils ont l'impression d'apprendre à leurs enfants à « ne pas être difficiles ». En toute bonne foi, ils imaginent, comme nous l'avons vu plus haut, faire des enfants bien élevés et vertueux, parce qu'ils ne font pas attention à ce qu'ils mangent.
Il s'agit-là (à mon avis) d'un énorme malentendu.

Nos corps ne sont pas des poubelles (ceux de nos enfants non plus !)

Elevés à ce régime, on ne peut s'étonner que ces mêmes enfants, devenus adolescents, « adorent » le McDonald's et, étudiants, se nourrissent de surgelés, de Choco-BN et de Coca-Cola.
Sur le coup, cela ne fait de bien ni à leurs dents, ni à leur développement physique, ni à leurs performances intellectuelles. Plus tard, cette alimentation sera le terreau du diabète, de la dépression, de l'arthrose et du cancer.
Et c'est là, selon moi, que se trouve une profonde contradiction avec l'objectif du jeûne, qui peut être religieux ou hygiénique, mais qui dans les deux cas a pour but une purification.
Si le but de la restriction alimentaire est de se purifier, alors il est encore plus important de faire attention à ce que l'on mange :
Je prends donc le parti de Jean le Baptiste contre le Curé d'Ars : si l'on mange peu, consommer uniquement du miel et des sauterelles me paraît être un régime relativement sain. Manger des patates pourries, au contraire, est une recette certaine pour transformer notre corps en benne à ordure, l'intoxiquer et, finalement, le rendre malade et le tuer.
Il en va de même pour votre régime alimentaire quotidien :

Votre régime alimentaire

Si vous exercez un métier très physique, de plein air, dans un pays froid (bûcheron dans le grand nord canadien, par exemple), et que vous mangez de grandes quantités de légumes de toutes sortes, de fruits, viandes et poissons, vous pouvez vous permettre de manger de temps en temps des frites, des chips, des barres chocolatées et même des bonbons.
Il n'en va évidemment pas de même si vous faites un métier de bureau dans un pays tempéré et que vous faites les trajets en voiture. Dans ce cas, mieux vaut éviter le plus souvent possible ce que les anglophones appellent « junk food » (littéralement, « nourriture poubelle » : biscuits d'apéritif, fast-foods, sucreries, sodas, aliments raffinés et transformés).
C'est toujours la même règle qui s'applique : moins vous mangez, plus les aliments prennent de l'importance individuellement. Vous devez alors veiller à manger uniquement des aliments à haute valeur nutritionnelle : fruits et légumes frais, légumes à feuille, légumes-racines, légumineuses, baies, noix, poissons gras, céréales complètes...

Bien manger, une maladie ?!

Michel Dogna a récemment annoncé sur le site Internet de Principes de Santé (1) , que les psychiatres avaient inventé une nouvelle maladie : le désordre alimentaire de manger sainement, baptisé pour que cela fasse scientifiquement sérieux l'orthorexie.
Ce serait donc une maladie mentale que de consommer une nourriture saine ? On aura tout vu. Et sans doute l'industrie pharmaceutique va-t-elle rapidement nous mettre au point de nouveaux médicaments chimiques pour en guérir ?
L'information semble loufoque mais vous la retrouverez dans le mensuel Psychologies Magazine (2) ainsi que dans le journal anglais The Guardian (3) , qui décrit en ces termes cette « inquiétante » maladie :
« les orthorexiques ont des règles rigides concernant la nourriture : refuser de consommer du sucre, du sel, du café, de l'alcool, du blé, du soja, du maïs OGM ou des produits laitiers dénaturés […] n'est que le début de leurs restrictions du régime. Chaque aliment qui a été en contact avec des pesticides ou qui contient des additifs artificiels est également mis de côté ».
Est-ce que bientôt, dans les écoles, on enseignera aux enfants à manger plus de colorants, de molécules de synthèse, et d'additifs chimiques pour éviter de devenir, eux aussi, orthorexiques ??
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Sources de cet article :
(1) « Êtes-vous orthorexique ? », Michel Dogna, Principes de Santé, http://www.principes-de-sante.com/article/coups-de-gueule-orthorexie.html
(2) Manger trop sain n'est pas sain, Psychologies Magazine, http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Anorexie-Boulimie/Articles-et-Dossiers/Manger-trop-sain-n-est-pas-sain
(3) Healthy Foods Obsessions sparks rise to mental disorder, The Guardian, http://www.guardian.co.uk/society/2009/aug/16/orthorexia-mental-health-eating-disorder
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jeudi 8 mars 2012

Message de Laurent Dureau : AH, L' AMOUR INCONDITIONNEL ....


La vérité sans artifice


 
Ha, l'Amour Inconditionnel …!

 

 C'est vrai que l'on en parle beaucoup par les temps qui courent, mais que recouvre-t-il exactement ? Là est la véritable question car, en pratique, la confusion reste intense.
Dans les faits, et pour mieux cerner cette histoire, je vous propose de regarder son opposé d'abord, on y verra plus clair ensuite. En effet, s'il est difficile de parler du blanc, commençons donc par ce qui ne l'est pas, c'est-à-dire le noir.
Ainsi l'amour conditionnel s'oppose vraiment à l'amour inconditionnel et nous allons voir que, même si l'on ne désire pas être dans le noir, notre amour inconditionnel est loin d'être blanc et il ferait plutôt dans le grisé…
En français, la condition s'exprime par le "si". Ce dernier, aussi ratatiné soit-il, est l'un de nos plus lourds handicaps pour aller vers notre propre divinité. En effet, même si vous pensez de temps en temps donner de l'amour inconditionnel, vous remarquerez qu'en fait, il est loin d'être immaculé comme on dit.
En effet, même derrière l'amour désintéressé le plus profond, il se cache forcément une comparaison avec un référentiel que vous avez fabriqué. S'il vous semble que, dans l'action que vous venez de faire, il n'y avait pas d'intérêt pour vous et donc pas de conditions, en fait ce n'est pas tout à fait vrai.
Il y en a toujours une, aussi menue soit-elle. Car, tant que vous aurez une "personnalité", une idée de ce que vous êtes ou une idée de ce que vous faites, vous êtes forcément dans la dualité, dans la séparation, dans le moi et l'autre… C'est obligatoire !
En somme, l'amour inconditionnel se résume au total abandon de ce que l'on pense être, de ce que l'on pense bien ou pas bien, de ce que l'on considère juste ou pas. En clair, votre mental regarde, soupèse, évalue pour aller éventuellement jusqu'au jugement.
On ne peut vivre l'amour inconditionnel qu'à la seule condition que l'on n'y pense plus du tout !
C'est dingue de regarder ça sous cet angle, mais c'est ainsi. C'est vraiment dans l'Êtreté que nous pouvons vraiment le vivre véritablement. Or, que faut-il faire pour être dans notre Êtreté ?
Eh bien, il faut tout simplement arrêter d'y penser pour le vivre. La petite astuce consiste donc à avoir le crâne aussi vide que possible et de suivre votre élan du cœur tout simplement.
Ce n'est que pendant ou après l'action que vous pourrez constater si, en effet, vous avez fait la chose sans aucune attente ou non. S'il n'y avait vraiment aucune attente, alors bravo vous êtes sur la bonne voie.
Si, par contre, vous découvrez qu'il en avait une, alors là aussi bravo, puisque vous allez pouvoir aller ôter ou arracher ce bout de truc qui vous empêche d'être vous-même. Voyez, vous êtes gagnant dans les deux cas !
Cet exercice devient véritablement puissant seulement quand on le fait au quotidien, dans notre vie de tous les jours, car dans ces moments là votre mental-ego n'est pas aussi concentré pour masquer ses magouilles.
En effet, si vous faites cet exercice seulement dans les moments de concentration, votre mental-ego va vous tourner en bourrique, puisque précisément c'est lui qui sera aux commandes pour se démasquer…
On connaît donc le résultat d'avance. Il vous donnera quelques miettes par-ci par-là afin que vous soyez content, mais en fait il vous aura manipulé comme une marionnette qui croit en sa toute puissance de liberté et d'action.
C'est incroyable de voir combien en fait nous sommes dans le "je t'aime si…", sauf que le si nous apparaît rarement en pleine figure. Il est tout simplement masqué derrière des bonnes intentions, surtout celles qui sont reliées au divin, aux anges ou toute autre conception qui réduirait notre ardoise au Ciel !
Rassurez-vous, l'amour conditionnel concret et conscient est possible, mais pour cela il faut commencer par ne plus prendre des vessies pour des lanternes. Or, tous les jours, c'est dingue le nombre de lanternes que l'on croise !
En effet, toutes nos échelles de "valeurs" ne sont que des miroirs aux alouettes pour planquer ce fameux "si" que l'on n'ose jamais nommer directement. Pensez à toutes les valeurs sociales, familiales, professionnelles ou de convenance que nous nous trimballons… Et voyez combien elles nous détournent vraiment de nous-même, de notre Êtreté.
Nous naviguons en permanence entre toutes ces "valeurs" en pensant qu'elles sont justes, bonnes ou pas toujours appropriées. En fait, notre amour inconditionnel, du moins celui que l'on pense qui en est un, n'est bien souvent qu'une approche, une nuance de gris plutôt que du blanc.
Il est évident que l'essoreuse cosmique a du boulot pour nous faire lâcher prise sur tout ce que l'on pense juste, injuste, correct ou incorrect. Il est clair que l'on peut se sentir un peu "froissé" dans notre intérieur au même titre que le torchon dans le tambour de la machine à laver.
Ce n'est qu'après que l'on se fera repasser au fer chaud et peut-être vaporeux de l'amour véritable. Puis ensuite, on nous mettra en pli afin que l'on puisse retrouver l'uniforme véritable de notre divinité.
La lessive et ses différents cycles de rinçage-essorage c'est en ce moment, et le repassage nous est promis pour bientôt ! Bref, si vous en avez les bras qui tombent concernant la tâche à accomplir, c'est déjà un bon lâcher-prise…
Quoi, tu déconnes Laurent ? Pas du tout car, en effet, plus vous chercherez à devenir et plus vous vous rigidifier dans vos conceptions or, ce que l'on nous demande aujourd'hui, c'est plutôt d'être le mollusque qui quitte son enveloppe de certitudes pour aller s'aventurer à en construire une nouvelle, plus grande, moins lourde, et surtout plus lumineuse.
On nous demande de muer et non de changer la teinture du vêtement actuel… En clair, chaque fois que vous vous rapprocherez de votre Etreté par un lâcher-prise réel, vous redécouvrirez la fluidité tout autant que la légèreté.
C'est vraiment la peur de retrouver notre véritable divinité qui nous fait vouloir rester dans la même coquille, la même carcasse conceptuelle. Dit autrement, nous n'avons pas confiance dans notre véritable divinité.
On préfère mettre une nouvelle couche de peinture pour masquer les anciennes, mais ce qui nous est demandé n'est pas un relifting mais une mue véritable qui nous libérera de tous nos manteaux ou karma accumulés.
C'est une lapalissade de dire que tout retour en arrière sera impossible car l'ancienne coquille sera définitivement trop petite pour vous y accueillir de nouveau. Seule la peur est capable de vous retenir à vos schémas actuels.
Alors, pourquoi a-t-on autant peur de notre véritable identité-divinité ? La raison est toute simple : Nous savons intimement que personne d'autre que nous-même peut véritablement nous aimer.
Nous sommes les seuls à pouvoir détenir la clé du coffre du cœur qui bat en nous. Personne d'autre ne peut l'ouvrir pour nous. Dit autrement, on est coincé et il est impossible de sous-traiter l'affaire !
Personne ne peut être notre étincelle de vie. Toutefois, cela n'empêche pas que d'autres nous aident par leur exemple à nous donner du courage à le faire.
Quand quelqu'un vous dit "je t'aime" et cela quelles qu'en soient la sincérité et la véracité, il y a forcément un « si » quelque part. Cela peut être un "si" monumental ou complètement minuscule, mais cela ne vous appartient pas et vous n'avez pas vraiment à l'évaluer ou le juger sauf si votre cœur vous siffle une autre musique.
Par contre, c'est celui qui exprime ce "je t'aime" qui doit regarder en lui la véritable teneur en amour conditionnel-inconditionnel. C'est à lui de prendre conscience après l'avoir dit s'il l'a fait totalement librement de toute attache conditionnelle.
La sincérité n'est pas l'unique valeur à prendre en compte car, croyez-moi, même les terroristes qui se font exploser dans les lieux publics sont des êtres très sincères puisqu'ils donnent leur vie…
La véritable attitude à prendre en compte, c'est surtout la prise de recul par rapport à l'acte. Dans le cas d'un "je t'aime" ce n'est pas trop méchant comparé à celui qui s'est fait exploser.
Ce dernier aura encore quelques incarnations supplémentaires à faire pour corriger son acte, car vu sous un autre angle, il s'est carrément fait berner par des autorités extérieures à lui-même. Dit autrement, il était à mille lieux de son écoute intérieure et donc de son étincelle de vie.
Alors, ne vous faites plus bluffer en ne prenant en compte que la sincérité. Elle est un élément important mais elle est non suffisante pour vous faire une véritable opinion.
J'ai rencontré dans ma vie des gens, des vendeurs hors pairs, qui jouaient à fond sur le registre mais je sentais bien que quelque part je me faisais entuber, mais ce n'est que le jour où j'ai eu les hémorroïdes que j'ai compris…
Bon, pour ne pas finir sur mes expériences personnelles, sachez que c'est en observant vos actes (quotidiens si possible) que vous allez pouvoir vous décoller du conditionnel qui vous habite.
Ainsi chaque décollement fera en sorte que vous pourrez sortir de plus en plus facilement de cet habit de 3D pour enfin passer dans celui de la 5D. Entre les deux (la 4D) on aura les miches à l'air et c'est pourquoi l'on nous dit qu'elle sera de courte période…
C'est un risque, mais celui qui ne le prend pas est déjà en risque maximal puisqu'il va mourir d'étouffement dans sa propre coquille. L'heure venue de la mue est ici et maintenant, en vous, dans votre quotidien, et non demain, ailleurs, dans un monde virtuel de rêvasserie spécialement réservé à ceux qui se disent spirituels, et qui se croient donc au-dessus des autres…
De toute façon, celui qui ne changera pas de coquille ici et maintenant sur Urantia Gaïa en aura une toute nouvelle toute aussi minuscule sur une autre planète où on lui représentera de nouveau l'examen à passer. Reculer pour mieux sauter vous emmènera de toute façon dans un autre bac à sable…. et peut-être avec des aides moins « compatissantes »…




Laurent DUREAU

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