Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi

Jésus a dit "Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi, pas dans des palais de bois ou de pierre"



Jésus dit "Fend le bois je suis là; soulève la pierre et tu m'y trouveras!"




samedi 24 mars 2012

Message de : Le Passeur : LE TEMPS DES GRANDES MAREES mmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhh normal.... si vous êtes "secoué(e)s" !


 

Le temps des grandes marées

Publié le 22 mars 2012 par Le Passeur

Par le Passeur.

C'est un bien étrange espace que nous expérimentons là. Il y a tant d'incitations, de provocations et je vois bien des interrogations, des hésitations sur l'attitude à adopter, les désirs d'engagement, les désirs de retraits, voire de retraites isolées, l'impatience, l'exaspération. Que faire se demandent beaucoup ? Les temps deviennent étouffants pour certains. Loin des psalmodies médiatiques, un nombre de plus en plus grand voient bien que les conditions économiques de leur quotidien se dégradent et cela les inquiète. Les mêmes médias les perfusent quotidiennement de drames, parfois orchestrés dans le cynisme le plus absolu, afin d'inciter à la haine et de dresser les uns contre les autres. Devons-nous nous lever dans l'engagement de l'homme face aux hommes ? Devons-nous juste attendre que l'effondrement survienne en se dégageant des implications émotionnelles de nos attachements ? Quelque chose va-t-il secouer le prunier ? Va-t-on faire enfin ce que nous attendons confusément ? Les marionnettistes vont-ils réussir à engager le monde dans un nouveau conflit dévastateur ? Tout cela va-t-il un jour cesser ?

La Terre elle aussi est sous pression et nous sommes la Terre. Alors oui, quelque chose va secouer le prunier et probablement libérer les pressions de bien des façons. Je sais que quelques uns ont fait le choix de l'engagement selon les anciens principes de la dualité opposant les forces. C'est leur droit et leur élan est d'autant plus compréhensible qu'il répond à l'une de nos plus vieilles habitudes. Nous l'avons déjà tant fait au cours de tant de vies que c'est un réflexe profondément enraciné. Aussi incompréhensible que cela soit pour ceux-là, je dis que chacun est dans son rôle, mais que la voie libératrice passe par la foi en quelque chose qui n'a jamais été tenté à telle échelle et que jamais un aussi grand nombre d'êtres ont été prêts à manifester cela dans la matière. Ce quelque chose est la conscience de notre pouvoir créateur, notre force à manifester une réalité en l'incarnant contre vents et marées, aussi bien ou mal intentionnées que soient les raisons de ces vents et ces marées. Nous ne pouvons qu'humblement et simplement être au quotidien celui-là que nous voudrions toujours voir à nos côtés, nous devons être nos propres exemples, nos propres références, en-dehors de tout cadre.

J'en vois qui ne tournent leur regard que vers ce qu'il y a de plus sombre dans l'humanité. Leur réalité est alors le reflet de cette obscurité et je n'envie pas leur amertume. Si ceux-là pensent s'informer de l'état du monde à l'aide du bouton de leur télé ou de leur radio, alors ils sont sûrs de s'enfoncer un peu plus dans une réalité morbide, malsaine et voyeuse, qui les amène perfidement au point où certains veulent les amener pour justifier leurs méthodes et asseoir définitivement leur contrôle. Leurs propres yeux ne verront plus alors d'eux-même que ce dont ils sont quotidiennement gavés. Mais que savent-ils de tout ce qui est fait de juste et de bienveillant à chaque instant sur ce monde ? Que savent-ils des mains qui se tendent et des consciences qui s'enracinent, si ce n'est quelques représentations larmoyantes mises en scène de temps à autre devant les caméras selon des buts contraires qu'ils sont bien loin d'imaginer ?

Il est une vérité à entendre sur plusieurs niveaux de conscience : nous créons toujours notre réalité par la nature du regard que nous portons sur le monde. Ce regard est l'étincelle d'un mécanisme qui à la fois nourrit une réalité perçue collectivement par adhésion plus ou moins consciente à un paradigme, mais aussi y apporte sa propre création. C'est pourquoi ce que nous sommes en nous est déterminant sur la réalité qui est la nôtre, tout en portant les germes d'une influence sur le collectif. Même si au regard de l'éternité de la vie, chacun avance à son rythme, c'est un mécanisme qu'il devient urgent de comprendre dans le contexte de l'horloge cosmique qui tourne. Lorsque le prunier sera secoué, des pans entiers d'un édifice que la plupart croit encore indestructible, s'effondreront. C'est une excellente chose parce qu'il faut faire de la place au neuf et comme je l'ai déjà dit, rien ne se bâtira cette fois sur les cendres de l'ancien. Mais aussi bonne cette chose soit elle, elle sera vécue difficilement pour beaucoup qui n'ont pas encore cheminé suffisamment vers l'être qu'ils sont en essence. Pour ceux-là, perdre par exemple leurs biens, leur emploi, leur maison, sera vécu comme un dépouillement d'une grande brutalité, qui les laissera désemparés. Dans leur système de croyances, ce sera en effet brutal et ils auront besoin de réconfort venant de ceux dont la conscience les a guidés vers une foi qui dépasse la peur de l'insécurité et le rapport de force qui en naît. Ce sera le rôle de ceux qui ont fait le choix de leur pouvoir créateur en-dehors du traditionnel engagement de l'homme face aux hommes. C'est une fois de plus un numéro d'équilibriste que de vivre ce choix dans un dégagement qui n'est en aucun cas de l'indifférence, tout en exerçant l'intention première qui nous a fait naître ici afin d'incarner toute notre lumière dans la matière. Il faut voir l'exercice de ce paradoxe comme la parabole du jardinier sûr de son fait, qui arrose ses semis dans une terre aride et difficile sans se préoccuper des apparences mais avec tout son amour. Le temps est à présent celui de la récolte.

 

Tout élan créateur est à l'image de la vie qui s'épand entre inspir et expir. Les univers eux-même respirent ainsi. Pour ce qui concerne l'extension de vie que nous sommes, la part d'ombre nécessaire à l'expérience de la dualité a nourri l'inspir dont il a rempli la matière et où veillait la flamme originelle, avant que l'expir ne souffle et épande cette lumière plus forte de l'expérience vécue. Dans l'équilibre intérieur l'alchimie s'est accomplie. Nous sommes au point où tout se détend, où tout se relâche, au point où donc tout ce qui est rigide et figé voit ses fondations se désagréger dans le souffle créateur. Ce n'est pas la décision d'une volonté, encore moins d'un jugement, c'est une vaste respiration au sein de laquelle nous avons créé des formes et des échanges, bâti des mondes et des sociétés. Ce sont nos châteaux de sable qui se dressent le temps d'une marée basse et dans lesquels se forgent au fil des cycles entre deux marées, arrogances, souffrances et vanités, mais où naissent aussi la compréhension, la compassion et l'humilité.

Nous n'avons prise sur la marée, nous ne pouvons que jouer gaiement avec ce qu'elle nous amène ou pleurer en tentant de préserver nos éphémères châteaux de sable.

Le souffle de l'expir tient ses lumineuses promesses et cela s'observe sur toutes les échelles de la vie et concerne bien plus que le simple sort de l'humanité résidant actuellement sur Gaïa. Nous sommes ici-bas les passagers d'une belle et grande conscience qui vient de larguer les amarres et nous offre un magnifique voyage sur le pont, humant le vent et les embruns sous le claquement des voiles gonflées des grands vents solaires qui s'annoncent. Nous tous qui avons choisi ce voyage n'avons qu'à nous réjouir pour rester confiants sur le pont. Les craintes du roulis, des vagues immenses et des éléments ne feront que nous focaliser sur un mal de mer qui pourtant est évitable.

Au-delà du remue-ménage, voyez la fluidité qui préside au mouvement créateur de la vie, et soyez-en. Soyez heureux en ces moments de bouleversement que tout vous soit offert comme possible, là où beaucoup d'entre vous croyaient que rien ne pouvait changer tant les attaches paraissaient solides.

Ces attaches ne sont en fait que… vos propres attachements. C'est pourquoi vous avez pu entendre parler avec tant d'insistance de la nécessité de se détacher des émotions nées de vos conditionnements inconscients. Et que donc vous avez reçu, ici et ailleurs, des signes mettant en lumière ces conditionnements et des informations propres à vous aider à vous en libérer pour l'essentiel. Hors de ces attachements, il n'y a plus de souffrance. Hors de ces attachements, il y a de moins en moins de peur et de plus de foi en la vie. Hors de ces attachements, le véritable amour se dégage. C'est à ce point précis que devait vous amener tout ceci : à vous éveiller, à retrouver foi en la vie, en vous, pour que sur le pont du vaisseau Gaïa, dans la grande tempête qui s'annonce, vous ayez le cœur en joie en pressentant vers quels nouveaux rivages vous allez accoster, sur quelle nouvelle Terre vous poserez le pas.

Ce qui vient à terme, ce qui naît, n'est pas un choix que nous ferions ou pas, ce n'est pas une philosophie à épouser ou une religion nouvelle, ce n'est pas même un engagement. Cela arrivera, quoi que nous fassions. Il y a tout un macrocosme en mouvement et de ce point de vue, nous ne sommes que des témoins observés et bénis du grand spectacle. Ca a toujours été ainsi et nous n'avions à déterminer en tant qu'individu et en tant que collectif que ce que nous étions en mesure d'apprendre de tout cela et d'incarner. Par voie de conséquence, par résonance – et non en récompense ou par châtiment (!), nous décidons donc de la manière dont nous vivrons ce moment exceptionnel.

A présent, nous sommes en un point où la ligne du temps qu'emprunte Gaïa vers son ascension ne devrait plus changer. Par contre, au sein de notre expérience humaine, si les choix d'âme sont faits, la ligne que nous suivrons personnellement pour les respecter n'est toujours pas déterminée, le libre-arbitre étant encore maître du jeu pour quelques temps. Elle ne le sera pas jusqu'au bout, jusqu'à ce que j'ai appelé le passage du chas. Je dirais même que cette période de doute et d'indécision pour beaucoup engendre des sauts permanents d'une ligne à l'autre du temps, d'un possible à l'autre. C'est ainsi, la vie est une création fluide en perpétuel mouvement, seulement il y a dans chaque élan des points de non-retour qui sont fonction à la fois de l'énergie en jeu dans le mouvement et de son rapport avec l'inertie rencontrée. En quelque sorte, nous sommes assez « légers » pour que ce point de non-retour ne soit pas encore atteint en ce qui nous concerne, là où celui de notre Terre l'est très probablement. Ainsi il y aura dans les deux sens jusqu'au dernier moment des volte-faces et des demi-tours qui en surprendront plus d'un.

Le laboratoire de notre expérience humaine a été élaboré et inséré de manière à ce que ses échéances capitales soient le point de rendez-vous d'évènements cosmiques qui en réalité les accouchent. Ce qui naît lors de ces rencontres n'est pas un choix venant de quelque chose d'extérieur à nous, mais la résonance de ce que nous avons conçu avant de le mettre au monde.

A présent, le rendez-vous cosmique en cours marque le terme de l'expérience que nous avons menée ici. Quoi qu'il arrive, chacun doit garder en conscience que tous récolteront très exactement les fruits de ce qu'ils ont semé tout au long de l'expérience. C'est-à-dire que chacun vivra avec justesse dans les mois à venir le processus qui le mènera à s'accomplir. Inutile de s'inquiéter, nos limites provisoires font que personne ne sait ce qu'il a réellement semé. Par ailleurs, quels que soient la nature et l'abondance de nos semis, tout le monde de toutes façons, et dans le temps qui lui convient, remonte progressivement le courant vers la source.

Alors que faire pour en revenir aux questionnements qui pointent ? En ces temps précis, plus que jamais, chercher le repos de l'âme et nous tourner vers Gaïa. Le printemps qui s'annonce incarne une Nature plus proche de nous que les précédents. Le rayonnement de notre soleil et d'autres étoiles nous transforme jusqu'au fond de nos cellules et transforme tous les règnes de la Nature. Tous convergent à présent vers un point où la connexion avec les retardataires que nous fûmes est aisée. Ce n'est plus un privilège réservé jusque-là à ceux qui devaient montrer ce chemin, c'est un présent à portée de tous. Il est là et il nous faut juste réouvrir nos yeux et nos oreilles à cette présence bavarde que nous n'entendions plus. Selon ce que vous pouvez, allez dans la Nature, travaillez en conscience la terre de votre jardin, allez au contact des arbres, des animaux, toujours avec respect, pas dans l'esprit de celui qui décide, mais de celui qui écoute et qui s'accorde avant d'agir. Ne forcez rien, laissez venir, entendez ce qu'elle vous dit et vous verrez qu'elle est bien moins inquiète que vous. Ce qui vous sera donné ainsi dépasse de loin ce que vous imaginez. La Nature est un orchestre dont nous ne sommes pas le chef mais un pupitre parmi d'autres. Il est temps de se mettre au diapason. Nous avons tous ensemble et avec elle une symphonie à jouer pour saluer la marée montante.

Fraternellement,

© Le Passeur – 22 Mars 2012 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de ne pas l'associer à une démarche commerciale, de respecter l'intégralité du texte et de citer la source.


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vendredi 23 mars 2012

Message de Laurent Dureau




 
Le courage managérial (3) : Le Déficit d'Ecoute
 
 Nous avons vu, lors du précédent article, que l'indécision est l'une des pires choses qui peut arriver à tout être humain, particulièrement s'il a une fonction de management. Nous savons que la vie n'est, en réalité, que prise de décision. Sans décision, sans choix, la vie n'existe tout simplement pas.
Nous vivons dans un monde de dualité afin d'expérimenter entre un côté ou un autre jusqu'au jour où l'on découvre la troisième voie : celle du recul qui permet de voir l'ensemble comme un et indivisible. L'indécision est l'aînée de la famille et nous allons maintenant aborder son petit frère…

Alors, quelle est la couleur des yeux de celui qui se cache derrière cette indécision ? Il est facile à découvrir si l'on se pose les bonnes questions car l'être humain est une personne qui se doit de communiquer pour vivre.
Alors avant de parler, de prendre une décision, il lui faudra écouter, entendre, ressentir une énergie, une information qui peut se montrer sous forme d'odeur, de toucher, de pression, de regards, de comportement, de paroles, d'écrits, de films, de musique, etc…
Le 2ème membre de la famille s'appelle donc : Déficit d'écoute.
C'est vrai, pris dans toutes nos activités, tous nos centres d'intérêts et tous nos besoins personnels, le déficit d'écoute non seulement nous enferme dans nos convictions, nos croyances, notre art de vivre mais aussi dans une « mollesse » décisionnelle.
C'est vrai que dans un premier temps, cette mollesse décisionnelle ne nous semble pas valable car on est persuadé que nous prenons toujours des décisions. C'est vrai mais la vraie question concerne la portée de nos décisions !
Décider ce que l'on va manger ce midi ne requiert que peu d'engagement par rapport aux autres et à nous-mêmes. Ce genre de décision relève plus de l'automatisme, de l'habitude et rarement du courage.
Par contre, écouter les autres, leurs idées, leurs revendications, leurs propositions d'améliorations nous amènera forcément dans une zone moins « sécurisée » et remettra en cause bien souvent un mode de comportement managérial qui se doit d'évoluer.
L'une des composantes du courage managérial est de reconnaître qu'il ne faut pas faire la sourde oreille à ce que l'on ne veut pas voir, entendre ou traiter. Cela est un acte d'engagement afin que le changement puisse survenir ou apparaître.
Nous sommes dans un milieu en perpétuel mouvement et il est donc normal de devoir s'adapter et d'être ainsi confronté à des nouvelles situations demandant une décision. L'incertitude fait partie du monde managérial alors l'esquiver ne fait que renforcer l'image que vous n'êtes plus tout à fait le chef de la situation.
Le déficit d'écoute est d'abord un déficit d'attention au monde qui nous entoure.
Je comprends que l'individualisme et le renfermement des individus de notre société sont de plus en plus grands mais ce n'est pas une raison valable pour ignorer de plus en plus ceux qui sont dans notre entourage qu'il soit professionnel ou non.
Ne plus écouter les autres, ne plus leur porter attention, c'est tout bonnement renier leur existence, leur intelligence et leur unicité. C'est une autre manière de dire, tu n'existes pas non seulement dans ma tête mais surtout dans mon coeur.
Souvent, les gens disent que le contraire de l'amour c'est la haine. Eh bien, c'est tout simplement faux ! La preuve est simple. Qu'est-ce qui vous fait le plus mal au fin fond de vous : la haine ou l'indifférence ?
Si personne ne vous répond quand vous dites bonjour, si personne ne vous remarque quand vous êtes là, si personne ne vous porte attention, si tout le monde fuit votre regard, dites-moi combien de temps allez-vous tenir ?
L'indifférence tue littéralement l'être humain dans son coeur alors que la haine ne peut tuer que le corps. Quand vous avez la haine pour quelqu'un, vous pensez à lui, vous le portez en votre coeur mais d'une façon négative.
C'est cette négativité qui peut nous sembler dangereuse mais vous savez au moins que quelqu'un vous porte attention ! Et souvent, il arrive qu'il y ait des réconciliations car l'amour peut éteindre toute négativité mais ne peut rien faire contre l'indifférence.
Le déficit d'écoute, c'est d'un côté un signe d'enfermement sur soi-même (avec toutes les plus ou moins bonnes raisons du monde) mais c'est aussi dire littéralement aux autres : « Tu ne m'intéresses pas ». Ce qui laisse toutes les interprétations possibles pour ceux qui se sentent exclus de votre univers.
Alors le déficit d'écoute, dans le contexte du courage managérial, est une plaie dont il faut se tenir éloigné le plus possible. Ouvrez les écoutilles, passez un temps raisonnable à entendre, voir, communiquer avec vos collaborateurs.
Ainsi vous démontrerez qu'ils existent pour vous et qu'ils sont donc importants pour le bon fonctionnement de votre entreprise. Les écouter, c'est leur dire « je t'aime » d'une manière simple sans avoir à le dire et ils feront de même en retour même s'ils ne sont pas d'accord sur votre dernier refus concernant leur augmentation de salaire.
Le coeur prend toujours le dessus sur le mental alors ne croyez pas qu'en gérant les gens comme des pions, vous en ferez des collaborateurs heureux de travailler pour votre entreprise. Ils ne donneront le meilleur que si vous les écoutez.
Alors maintenant, posez-vous la question et faites un rapide audit de tous ceux que vous évitez, de tous ceux dont vous ne connaissez même pas le prénom voire le nom, de tous ceux qui pourraient faire beaucoup plus et qui se retiennent.
Le management est un mot qui veut tout dire et rien dire à l'image des mots liberté, amour, fraternité, équité, etc. Ce sont des mots étendards qui contiennent tout et leur contraire.et qu'il est bien d'utiliser politiquement pour rassembler avec le même discours les deux factions opposées.
On peut bien sûr vous apprendre des choses dans les écoles de management mais, somme toute, ce sera par votre attitude que vous arriverez à gérer les personnes dont vous avez la responsabilité.
Aucune technique, aussi brillante soit-elle, ne vous viendra à l'esprit à la vitesse de l'éclair pour répondre à un bonjour, un sourire ou un regard. A ce niveau, vous ne pouvez rien calculer mais seulement être vous, être véritable.
Tout délai anormalement long indiquera à votre interlocuteur que soit vous pédalez dans la semoule parce que vous avez fumé un joint, soit que le repas d'affaire a été trop chargé ou que vous essayez de le manipuler. Si vous cumulez les 3, il va falloir vous attendre à quelques séances de torpillage dans l'estime que l'on vous porte.
Et puis bien sûr, il y a les surdoués du mensonge, ou du paraître, qui pourront éventuellement s'en sortir honorablement dans l'instant mais ils se feront quand même avoir un jour ou l'autre. Cela pourra jouer avec les nouveaux venus mais les anciens sont déjà au parfum depuis longtemps.
En résumé, vous n'avez pas vraiment le choix si vous voulez être à la hauteur ! Il vous faut être tout simplement vous-même mais avec cette volonté d'écoute qui indiquera que vous désirez communiquer avec votre prochain car, in fine, vous avez compris que sans les autres vous n'êtes rien.
Laurent DUREAU
Article paru à l'origine sur le blog Booster Votre Influence le 13 mai 2008 et réactualisé sur le blog 345D le 26 février 2012.
Article suivant: Le courage managérial (4) – La non-reconnaissance
Article précédent: Le courage managérial (1-2) – L'indécision

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jeudi 22 mars 2012

INREES | Et si l'altruisme était l'avenir ?


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INREES - Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires




Le monde est en train de changer. Et si l'altruisme, et les forces de l'esprit, étaient l'avenir ? Découvrez dans le prochain numéro d'Inexploré les confidences intimes et surprenantes de Jacques Attali, un homme au cœur de la vie intellectuel, politique et économique française. Un entretien exlusif...


+ Entretien
La part spirituelle de Jacques Attali
+ Grand dossier
« Quand la vie s'arrête »
+ Portrait
Rupert Sheldrake, le scientifique rebelle
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Par l'anthropologue Jeremy Narby
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Et si l'extraordinaire nous aidait à repenser la société ?
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mercredi 21 mars 2012

INREES | Des animaux thérapeutes...

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INREES - Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires

On connaissait l'effet bénéfique d'une présence animale sur les êtres humains. De là à imaginer nos amis les bêtes faire leur entrée dans les hôpitaux français... Pourtant, depuis près de trois ans, la zoothérapie, testée dans certains établissements, permettrait d'améliorer la santé physique et mentale... Lire la suite »


Comment l'homme s'est-il progressivement coupé de la Nature et de son être intérieur ? Comment peut-on aujourd'hui rétablir ce lien et réenchanter le monde ? Ecoutez ce podcast en intégralité (1h28) »



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lundi 19 mars 2012

Univers parallèles et lignes du temps


 

 
 
Univers parallèles et lignes du temps


10/03/2012

"Nous avons montré à notre canal plusieurs lignes du temps qui s'entrecroisent, et ces lignes du temps concernent aussi des univers parallèles. Que peuvent représenter pour vous des univers parallèles ? Des mots, des concepts, mais pas encore une réalité !

Si vous aviez conscience de l'immensité de la Création ! Il existe des univers parallèles, et il existe également le double ou le frère jumeau de votre univers, et ces deux univers peuvent s'interpénétrer. Imaginez tout simplement que la Terre a une sœur jumelle dans un autre univers, un univers parallèle, et que vous aussi avez un double de vous dans le même univers parallèle. Les lignes du temps des univers parallèles peuvent se croiser, se chevaucher, et il est possible de sauter d'une ligne à l'autre en permanence.

A l'époque actuelle, vous avez votre propre ligne du temps qui doit vous mener essentiellement à votre transition, à la cinquième dimension. Cependant il y a des univers parallèles qui n'ont pas le même objectif. Ils ont un autre destin évolutif ; ils se ressemblent mais ils n'évoluent pas forcément de la même façon que le vôtre.

Nous aimerions d'ailleurs mieux parler « d'univers miroirs » que d'univers parallèles.

Ils me disent donc :

« En ce moment, vous vivez beaucoup de distorsions dues au changement de dimension, aux immenses énergies que reçoit la planète Terre. Des énergies appartenant à d'autres univers ne voudraient pas que votre petit système solaire puisse s'élever vers la cinquième dimension. Elles voudraient maintenir votre système solaire loin d'elle.

En fait le système solaire n'est rien. C'est tout un ensemble qui est en train de monter encore et encore dans une vibration extraordinaire, et certaines énergies, pour leur puissance et leur domination, voudraient bloquer cette vibration pour avoir encore la mainmise sur cet ensemble.

Que font-elles donc ? Elles essaient de manipuler la ligne du temps en passant par des univers parallèles car c'est plus facile pour elles. Cependant cela ne se passe pas comme elles le souhaitent donc elles essaient de freiner l'évolution et le résultat final de cette évolution.

Elles n'y arriveront pas, parce que tout est prévu dans le plan divin".



Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
qu'il ne soit pas coupé
qu'il n'y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site
http://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

 

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Mémoires cellulaires et sur identification S. Leclerc 17.3.12




 

Mémoires cellulaires et sur identification 
S. Leclerc17.3.12
 
 
Salutations à vous, chers enfants de la Terre.

Nous sommes ravis de nous présenter de nouveau à vos côtés et d'apporter un autre volet à nos enseignements sur le sens de la vie d'un Être incarné en processus d'éveil (ou du réveil).

Votre corps physique est une représentation holographique de l'Univers. Tout ce qui a le potentiel de s'inscrire dans l'Univers a aussi le potentiel de s'inscrire dans votre corps physique. Toute expérience vécue dans l'Univers permet à «la somme de Tout ce qui est» d'évoluer, à l'image d'un immense corps céleste qui croît au rythme de chacune de ses particules.

L'Univers ne connaît pas le jugement. Tout ce qu'il emmagasine est accepté comme une expérience qui fait évoluer l'ensemble. Mais dans la dimension incarnée, la situation est vécue différemment, car la conscience humaine évalue les expériences vécues dans une vision dualiste, selon des références de bien et de mal. Ce qui est «bien» est accepté par la conscience, et ce qui est «mal» est rejeté. C'est dans ce contexte que le corps physique agit comme un entreposeur de données, une sorte d'arrière-boutique qui «stocke» les expériences rejetées par la conscience en attendant qu'elle vienne les récupérer. Vous nommez cela des mémoires cellulaires.

Les données emmagasinées
En fait, ces mémoires sont des données emmagasinées dans les cellules de votre corps physique. Le but de ce «stockage» est d'entreposer les expériences vécues jusqu'à ce que la conscience les accepte comme faisant partie de l'aventure humaine. À ce moment, les mémoires viennent construire le champ aurique global de l'Être, au lieu de s'accrocher aux cellules et de les alourdir. L'expérience vécue sert alors l'évolution de l'Âme, parce qu'elle est acceptée. À l'inverse, les «données» non récupérées restent stockées dans le corps physique et agissent sur l'Être comme des poids qu'ils portent.

L'évolution dans l'incarnation implique qu'un jour ou l'autre, tout Être humain devienne conscient de ce qu'il est, conscient de ce qu'il porte comme vécu et comme expériences. Mais plus un Être résiste à ces prises de conscience - toujours parce qu'il aura jugé certaines expériences vécues dans le passé - plus il aura de la difficulté à s'alléger. Car inconsciemment, l'Être créera des situations qui éveilleront extérieurement les mémoires qu'il porte intérieurement. Si l'Être accepte de les regarder et de les accueillir, il allègera sa vie. Mais s'il résiste et entretient une forme de déni, il aura l'impression que la vie s'acharne sur lui, alors qu'en vérité, il est accompagné à se dégager des poids qu'il transporte depuis un long moment.

Chaque Être humain porte en lui un Univers tout entier. Tous les Êtres que vous rencontrez vous présentent leur propre Univers avec lequel vous êtes en relation. Ce sont des Univers complets qui s'offrent les uns aux autres. Ces Univers sont composés d'éléments conscients et inconscients qui s'influencent mutuellement pour permettre à chaque Être d'acquérir davantage de sagesse. Et l'Être évolue en fonction de ce qu'il acceptera d'accueillir en lui comme expérience.

Les sensations ressenties
Lorsque vous ressentez la peur dans le corps physique, il est important de comprendre d'abord que ce n'est pas votre essence qui la ressent. En d'autres termes, vous n'êtes pas cette peur, ce sont vos mémoires qui s'expriment. Les mémoires sont importantes, certes, et nous ne sommes pas à les banaliser. Seulement, vous n'êtes pas vos mémoires. Elles habitent en vous, mais elles ne sont pas vous. D'entrée de jeu, voilà une invitation à poser un double regard sur vous, afin de relativiser les sensations ressenties dans l'incarnation. Car la peur est probablement l'émotion qui crée le plus de freins chez les Êtres humains. Souvent, vous êtes si identifiés à elle que vous finissez par vous imaginer que tant que vous aurez peur, vous ne pourrez plus avancer. Voilà que la peur vient occuper tout l'espace. Vous n'êtes pas votre peur et vous n'êtes pas vos mémoires. Vous cohabitez avec elles.

Lorsque vous êtes trop identifié aux mémoires, vos gestes deviennent teintés par celles-ci. Mais en vérité, il y a des gestes qui sont inspirés par l'Âme, et il y a les mémoires. Ces éléments sont différents. Mais les mémoires qui ne sont pas comprises comme tel vont souvent influencer l'Être à poser des gestes réactifs pour se protéger et se refermer. Ces gestes seront posés en fonction des mémoires. L'Être voudra alors compenser la présence des mémoires en réagissant aux éléments qui les auront réveillées. Voilà qu'il y aura réaction, et non pulsion ou attraction. Cette réaction n'est pas porteuse de vie, car elle est stimulée par une émotion qui est générée par une mémoire cellulaire. Et c'est là que l'Être est invité à rencontrer sa mémoire, tout en comprenant qu'il n'est pas sa mémoire.

Avec ou sans vous
Il est fondamental que vous vous dissociiez des mémoires en vous, non pas pour les banaliser, mais pour comprendre qu'elles existent avec ou sans vous. Elles sont autonomes pour ainsi dire. Elles cherchent votre lumière certes, un peu comme des adolescents qui veulent être libres, mais qui ont besoin d'encadrement. Les mémoires sont comme des adolescents. Elles sont autonomes, et en même temps, elles cherchent à être encadrées par l'Être d'amour que vous êtes. Et l'Être d'amour comprend qu'il doit laisser ces mémoires s'exprimer, tout comme vous permettez à un adolescent d'être un adolescent. Vous ne jugez pas ses maladresses ou ses écarts de conduite, mais vous balisez son chemin. Vous comprenez que ses écarts sont temporaires. Ils lui permettent de se définir et de comprendre ses limites. Et voilà qu'à un moment, il devient mature.

Et voilà qu'à un moment, les mémoires redeviennent lumière. Elles ne vont pas s'évacuer, mais elles n'auront plus d'impact, elles seront recadrées pour ainsi dire. Vos mémoires ne sont pas vous, même si dans l'incarnation, elles sont un aspect de vous.

Prolongement des corps subtils
Lorsque nous disons «qu'elles ne sont pas vous, mais un aspect de vous», nous ne sommes pas à jouer sur les mots. Nous soulignons le fait qu'elles existent, tout comme votre main existe comme une partie de vous. Mais elle a son propre système nerveux, ses éléments de sensibilité, et en même temps, vous n'êtes pas votre main. Votre main est un prolongement des corps subtils et des corps énergétiques, qui ultimement sont un prolongement de l'Être véritable que vous êtes. Vous êtes donc représenté physiquement par un enchevêtrement de «prolongements de vous-même». Mais de prendre ces éléments et d'en faire votre essence est une incompréhension de l'Être véritable que vous êtes.

Il y a donc un intérêt à mettre en perspective différents éléments de votre vie, non pas pour les banaliser, mais pour comprendre que même s'ils vous influencent, vous n'êtes pas cela. Vous l'êtes dans l'incarnation et vous ne pouvez vous en dissocier de façon nonchalante. Mais apprendre à vous désidentifier de cela est un processus qui vous conduit directement vers la maîtrise.

Être davantage humain
Une invitation à ce qu'il y ait moins d'identification à la dimension humaine vous amène à être encore plus humain. Vous nous direz qu'il y a un paradoxe ici, mais pour nous, ce n'en est pas un. Car pourquoi est-ce que les humains sont si affectés par les ombres? C'est d'abord parce qu'ils portent beaucoup de dénis, car ils craignent d'être envahis par elles. Donc les ombres qu'ils ne veulent pas observer les affectent encore plus intensément, parce qu'elles sont niées [voir Le double déni -
http://www.psychologiedelame.com/message-17-10-11.html]. En parallèle, ce qui affecte tout autant les humains est que lorsqu'ils finissent par accepter d'observer leurs ombres, ils sont si identifiés à elles qu'ils ont l'impression maintenant qu'ils sont démasqués, qu'ils ne sont «qu'une ombre sur deux pattes». Cela crée beaucoup de lourdeur chez les humains. Et alors, un humain plus lourd ne peut véritablement remplir son rôle d'humain.

Un humain est un Être qui vit des émotions, des expériences et qui apprend de son vécu. Un Être blessé qui continu de revivre ses blessures est toujours un humain, mais vous comprendrez qu'il est un humain qui ne vit pas l'expérience d'être un humain. Il est un humain qui revit ses blessures de façon récurrente, il les répète et les répète. Certains humains passent 10 ou 15 années, 15 vies à répéter des mémoires et des thématiques qu'ils n'arrivent pas à dégager de leur énergie. Soit ils ne veulent pas les contempler, ou soit ils se sentent coupables de les avoir vécues. Donc plus un Être apprend à se désidentifier de son incarnation, plus il apprend à développer un regard amoureux sur ce qu'il est, et plus il apprend à être un humain équilibré.

L'identité véritable
Il est si fondamental que l'Être apprenne à reconnaître qu'il vibre à une dimension supérieure, tout en comprenant qu'il est aussi en processus d'expérimentation sur Terre. Il n'est pas un corps physique, il est une Âme-Esprit venue vivre un passage sur Terre. C'est cela la désidentification qui permet d'être encore plus humain, de vivre plus intensément sa vie humaine, sans pour autant «mordre» à chaque contraction. L'Être divin, beaucoup plus fluide, suit le courant de la vie sans résister, et apprend à redevenir l'Être de lumière qu'il est dans la dimension incarnée. Mais celle-ci n'est plus son identité, elle devient un véhicule qui transporte son duo Âme-Esprit aux quatre vents, sur Terre et dans les plans subtils.

Plus un Être habite son corps, vous l'aurez compris, plus son Esprit est libre. Plus un Être veut avoir un Esprit libre pour éviter d'habiter son corps, plus il est contracté et prisonnier de l'incarnation. C'est un concept simple et fort mal compris chez les Êtres humains.

Vos chaussures
Nous l'avons dit, votre corps physique se présente comme la partie visible de tout un ensemble de corps qui s'influencent mutuellement. Souvenez-vous que vous n'êtes pas votre corps physique, tout comme vous n'êtes pas vos chaussures. Vous entrez dans vos chaussures le matin et vous les retirez le soir. Vous en faites autant avec le corps physique. Vous le quittez le soir, et vous le pénétrez de nouveau le matin.

La conscience continue de vivre avec ou sans corps, cela n'a aucune importance. Seulement, puisque vous êtes incarné en ce moment, vous êtes invité à l'assumer totalement, à être en paix avec ce choix de votre Âme. Comprenez que maintenant que vous y êtes, l'invitation est d'aimer et de stimuler votre vie humaine à partir de votre lumière, et non d'utiliser votre vie pour évaluer votre lumière. Voilà une nuance fondamentale à intégrer, chers amis humains.

Souvenez-vous que votre Âme est identique aux Êtres que vous admirez. Ce qui vous stimule chez les autres existe nécessairement déjà en vous. La différence entre vous et eux est la quantité de vous-même que vous avez intégré dans votre corps physique. L'essence est la même, mais le parcours d'intégration est différent. Comprendre cela vous amène à comprendre que vous êtes souvent trop identifié à la dimension incarnée, ce qui vous amène à évaluer votre Être en fonction d'elle, alors que l'invitation est plutôt d'éclairer inconditionnellement votre vie humaine à partir de votre lumière.

Être spirituel
Beaucoup d'humains imaginent qu'un Être spirituel est un Être déconnecté de la réalité terrestre. Ils se disent que pour être humain, il faut se déconnecter de la spiritualité et que pour être spirituel, il faut se déconnecter de l'humain. En vérité, ces deux réalités ne sont jamais complètes si elles restent séparées. Concrètement, l'Être spirituel qui se sépare de l'humain dans l'incarnation n'est pas plus spirituel que l'Être humain qui se sépare de sa spiritualité. Ni un ni l'autre n'est en contact avec la vérité de son essence.

Être en contact avec soi et être spirituel ne sont pas synonymes, ce sont deux expériences distinctes. Être spirituel sur Terre est associé aux connaissances reliées à l'existence d'un monde parallèle, d'un monde invisible, et d'un lien qui existe entre ce monde et la dimension visible.

Maintenant, être un spiritualiste engagé et impliqué concrètement dans sa vie revient à faire en sorte que ce lien entre le visible et l'invisible soit une source de dynamisation pour l'Être incarné, un moyen de créer sa vie de façon épanouie et épanouissante pour les autres.

Pour nous, la véritable spiritualité est associée à l'Être qui est en mesure de faire des liens entre sa vie humaine et sa vie spirituelle, sans jamais les séparer: «voilà, maintenant je suis humain, et ce soir, lorsque je rentrerai à la maison, je redeviendrai spirituel, ou lorsque je serai en méditation, ou lorsque je serai avec cet Être qui me parle de spiritualité, etc.». Tout cela n'a pas à être séparé de l'humain.

Le rythme vibratoire
Vous aurez compris que nous parlons ici de différences au niveau du rythme vibratoire. Ce n'est pas l'état d'humain qui crée la séparation, mais la densité de son rythme vibratoire. Celle-ci rend les deux réalités incompatibles. Et il est juste d'observer que si un Être est contracté, dans la concurrence, la compétition, la comparaison, l'avarisme, l'envie d'accumuler, le manque, la peur du manque, la peur, tous ces éléments créent une densification de son rythme vibratoire. Et en densifiant ce rythme, l'Être a plus de difficulté à se connecter avec les mondes invisibles. Il aura alors l'impression que pour se connecter avec l'invisible, il doit se séparer de ce qui le rend lourd. Et c'est pour cela qu'il aura l'impression qu'il ne peut plus être humain s'il veut être spirituel. Mais en vérité, toute la spiritualité et toute la lumière des Univers n'ont pour but que d'éclairer la vie pour l'aider à évoluer, et non d'éveiller la comparaison.

Lorsqu'une pièce est dans la pénombre, elle ne se juge pas d'être dans la noirceur. Elle accueille la lumière lorsqu'elle se présente et voilà qu'alors, elle redevient lumière. L'ombre, c'est l'absence de lumière, et la lumière est associée à la conscience. Donc plus vous êtes conscient d'un élément, plus vous l'éclairez et plus il devient lumière. Plus il devient lumière, plus son rythme vibratoire s'élève, et plus vous le rapprochez du rythme de la connaissance pure, du rythme de ce qui est invisible. Ainsi, l'invisible devient visible.

La séparation
Tout ce parcours de souffrance débute par une sensation de séparation et une blessure reliée au fait de ne pas ressentir le soutien universel. Beaucoup d'Êtres se sentent seuls, largués pour ainsi dire sur cette planète isolée. C'est une mémoire intense qui est très présente chez les humains. Elle crée dans l'invisible une envie de fuir l'incarnation. Mais en tant qu'humain, vous pouvez accéder aux plans spirituels sans quitter la matière. Vous n'avez pas à «éteindre l'interrupteur» pour y arriver, vous pouvez au contraire choisir d'être encore plus humain. Car plus vous êtes humain, plus vos antennes se déploient.

En vérité, nous disons: «plus vous êtes un humain joyeux», car nous ne parlons pas d'un humain dans la souffrance et dans la lourdeur. Ces états ne sont pas porteurs de la légèreté requise pour augmenter votre rythme vibratoire. Mais il ne faut pas non plus nier la souffrance et la lourdeur ressentie pour se réfugier dans la joie. La joie n'est pas un refuge, c'est un état d'être. Plus elle se met en place de façon intense et sincère, plus la conscience s'élève, et plus vous vous souvenez que vous êtes un Être spirituel venu vivre une expérience terrestre.

Vous n'êtes pas un Être humain qui tente de devenir un Dieu, vous êtes un Dieu qui a choisi de réduire son rythme vibratoire pour pénétrer la matière. Une fois dans la matière, si vous avez oublié que vous étiez un Dieu, cela ne fait pas de vous un plus petit Dieu. Cela fait simplement de vous un Dieu qui a oublié. Mais l'oubli n'est pas un état permanent, c'est un état qui stimule l'envie de se réveiller.

L'énergie du Nouveau Monde
Si nous vous avons parlé des mémoires en ce jour, c'est parce que le rythme vibratoire associé à l'énergie du Nouveau Monde bouscule de plus en plus les cellules mémorielles de vos corps physiques pour les accompagner à libérer ce qu'elles ont emmagasiné dans l'incarnation. Plus vous accepterez ce processus, plus il sera facile de le traverser.

Plus vous entrerez dans l'énergie du Nouveau Monde, plus vous deviendrez conscient des ponts qui existent entre l'humain et le divin. Au fur et à mesure que vous intégrerez les concepts de la nouvelle énergie, la clarté sera de plus en plus au rendez-vous. L'évolution est un parcours, et non une destination. Appréciez chacune des étapes qui vous sont présentées. Mises ensemble, elles participent à créer l'Être d'amour et de lumière que vous êtes.

Nous vous remercions de votre présence amoureuse en ce jour. Nous vous saluons et allons maintenant compléter ce message.

Salutations à vous

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle

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Reçu le 17 mars 2012, par Simon Leclerc (
www.psychologiedelame.com)

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d'en conserver l'intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci



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Sil-te-plaît, pardonne moi

L'effet de vos pensées, de vos paroles

Méditation guidée

Vibration de Saint Germain Le beau Danube bleu

https://www.youtube.com/watch?v=_CTYymbbEL4

Vibration du Maître ascensionné Saint Germain La valse de l empereur